24 décembre 2008

Tibet

Le dalaï-lama juge la communauté tibétaine "en grand danger"



Pour en savoir plus sur la Chine & le Tibet, cliquez sur le lien Chine/tibet, ci-dessous

30 novembre 2008

Opera


Tristan&Isolde-bastille

L’artiste vidéaste américain Bill Viola signe les “décors” de l’opéra de Wagner mis en scène par Peter Sellars. Une tragédie qui se joue dans les chants puissants des deux amants et dans les films projetés sur un immense écran installé sur la scène.

La nature -l’eau, l’air, le feu- est le personnage principal qui dévore ses enfants. Ainsi l’une des plus belles scènes : le ballet des corps fluides dans la mer qui est aussi la nuit. Les deux protagonistes, à mesure qu’ils s’unissent, se confondent, se dissolvent, se perdent et se résorbent en un point unique, minuscule, bientôt englouti au fond des eaux immémoriales, comme au fond de la mémoire.

Magie de Viola qui donne corps au vertige d’abandon et de jouissance. En silence, comme on se noie. Les chants eux-mêmes se chevauchent et bientôt fusionnent en une seule phrase ténue, fragile, jusque dans la note blanche qui contient toutes les autres. Splendide chute qui est aussi ascension, élévation. Les deux amants s’éprennent de la chute, plus dense encore que ce qui les a fait tomber. Ils disparaissent comme ils s’aiment : de toutes les éternités.


Intimité dominicale

Intimitédominicale
Luxe du dimanche: étirer le temps,
laisser les minutes s'écouler paresseusement
chacune prend son ampleur, devient un instant de plaisir à savourer.
On remue dans les draps du lit, on entend , on écoute le bruit étouffé de la rue,
on devine derrière les rideaux tirés, la grisaille d'une journée d'hiver.
Et puis, on se re
-découvre enfin. L'autre que l'on devine à peine les matins de semaine, s'étire lui aussi, là , à mes cotés.
La banalité, la douce et précieuse banalité de ces instants, enfin magnifiée. L'odeur acre de la nuit qui envahit encore la chambre, ta bouche pateuse, le crissement "délicat" de tes ongles te grattant les fesses, le bouilloneme
nt dans la cuvette des toilettes bientôt suivi par le bruit de la chasse.
La journée peut commencer, nous sommes bien vivants.

29 novembre 2008

Intimité

intimité




c'est l'hiver. pour me sentir bien chez moi, dès que je rentre du bureau, j'enfile des "long johns" comme disent les américains. A l'image de James Dean dont c'était la tenue préférée for "staying at home", je me sens confortable et au chaud vêtu ainsi. idéal pour cocooner !

26 novembre 2008

Opéra


diezauberflote - bastille


Désespoir dans le milieu lyrique : on reprend 'La Flûte enchantée' mise en scène par le collectif La Fura dels Baus. Ce spectacle d'origine catalane avait suscité une levée de bouclier lors de la première production en 2005. Et pour cause : la Reine de la nuit apparaît sur un monte-charge, des matelas gonflables surgissent de partout, des diodes clignotent sur la poitrine et le sexe des trois Dames... Malgré les apparences, cette contemporanéité n'est pas gratuite. Sur un autre ton que les décors classiques vus et revus, elle rend au contraire justice à la portée psychologique de l'oeuvre originale. Opéra éminemment complexe, 'La Flûte enchantée' permet des lectures multiples. De l'amour au sexe, du bien et du mal à leur conceptualisation, il n'y a qu'un pas que le collectif assume et met en évidence sans scrupule. Lieux de libération - du corps par l'orgasme mais aussi de l'esprit par l'analyse - les matelas jalonnent la quête de Tamino vers le savoir. Renforcée par les apparitions d'"autres" images prégnantes d'un inconscient de plus en plus fertile, la dualité originale des personnages (Tamino / Pamina, Papageno / Papagena...) invite à l'introspection et remet en cause la réalité de la représentation. Car finalement, de quoi s'agit-il sinon du voyage intérieur de l'homme ? Dans ce monde virtuel où le temps se condense et se diffracte, "je" est une quête. Charmé par cet univers très plastique où la voix des interprètes n'a d'égale que l'inventivité de la scénographie - heureusement dépouillée des poésies autrefois récitées par Dominique Blanc et Pascal Greggory - il n'y a plus qu'à se laisser engloutir dans cet univers génial de musique et de réflexion. Pour en ressortir heureusement troublé

23 novembre 2008

Exhib 4

Exhib IV





il photographie ses amis, les potes, les rencontres. il est espagnol; voici son site il s'appelle Matias

20 novembre 2008

Exhib 3

 
j'ai même trouvé un mec qui les collectionne! je ne sais pas si sont site est une collec de mecs avec lequel il a chatté, ou simplement maté. En tous cs le web est un monde étonnant. De fait, nous sommes étonnant seulement avant cela ne se voyait pas autant; tous ces mecs qui se photographient nus et qui propagent leur image sans aucune pudeur voir ma collec

site de hotcamboys

08 novembre 2008

Instants


INSTANTS

Les heures passent
depuis combien de temps?
partageons-nous
depuis quand?
je te connais?

chaque pore, chaque odeur
regards, froncement je te vois,
je te sens
chaque jour est un miracle

06 novembre 2008

Apesanteur 4

apesanteur IV
c'est toujours toi qui va te coucher le premier. Moi, je veux, je tiens à profiter de tous les instants de ces journées de vacances. Je veux regarder le feu s'éteindre. Encore une page de mon livre dans le silence de la maison que seul rompt le crépitement des dernières braises.
Tu m'attends. Patiemment tu m'attends. Sur le lit, jamais dedans, même à basse température, tu m'attends. Car c'est moi qui doit, c'est ton désir, mettre la touche final à ton « déshabillé »....
tu m'attends, étendu sur le lit avec ton slip, ton boxer ou ton caleçon. Dès que je sors de la salle de bain, c'est toujours le même rituel. Tu poses ton livre, tes jambes s'écartent légèrement et tu me regardes; nu, dressé devant toi. Tu me souris, je sais que je suis en léger contre-jour, tu ne distingue pas mon visage, tu ne vois pas que le désir se lève dans mes yeux, tu ne vois sans doute pas le léger frémissement de ma queue. Mais tu me souris et m'attends. Alors, je t'écarte doucement les jambes, je m'approche de toi, je pose mon visage sur ton ventre et baise ton nombril. Bientôt le tissu, un renflement. Et ton odeur, ton intime odeur. Comme un film de la journée retracée. Humide, chaude; Toi. Alors, doucement j'enlève ton sous-vêtement, ta queue m'apparaît. Ta queue que je décalotte tendrement, une caresse, un baiser. La nuit peut commencer

05 novembre 2008

Apesanteur 3

Apesanteur III





noix, bourbon, toi musique, toi bouquin, ma tête sur ta cuisse crépitement des flammes, lueur fauve dans tes yeux

02 novembre 2008

Opéra

La Fiancée vendue smetana garnier


OPERA. Il a fallu 142 ans pour que cet opéra de Smetana, joyau du répertoire tchèque, entre à l'Opéra de Paris. Le voici sous la baguette de Jiri Belohlavek, fondateur de l'Orchestre Philharmonique de Prague. Par la couleur de ses mélodies et la vivacité de ses rythmes, cette histoire bouffonne et paysanne est devenue l'emblème national. Tout en étant porteuse des revendications passionnées du compositeur pour l'indépendance de son pays, La Fiancée vendue a valeur universelle par sa structure et la richesse de sa musique.

Faut-il y aller ? Oh oui ! car voilà une belle surprise, avec un metteur en scène rompu à tous les exercices, Gilbert Deflo. On retrouve pour les parties chorégraphiques, Micha van Hoecke, naguère un des piliers du ballet du XXe siècle.

29 octobre 2008

Apesanteur 2


En apesanteur II



silencieux, nous regardons la route nous rapprocher tout doucement de chez nous. Le beggars banquet déroule ses chants traditionnels; comme toujours quand nous roulons, c'est toi qui conduit. ma main, machinalement te caresse la cuisse, comme pour te dire "nous sommes UN". On est bien. Ton sexe n'est pas loin. Mes caresses l'effleure de temps en temps et je sens bien que cela te-lui fait de l'effet. Bientôt, il prend ses aises et s'étend le long de ta cuisse . Je l'encourage du bout des doigts, de légères pressions. Tu souris; tu dégrafes ta ceinture et tu me souris. Je te déboutonne et t'aide à descendre ton jean. La garce ainsi libérée prend ses aises sous ton caleçon. Je reprends mes flatteries, titille, pince, je la connais si bien! J'en connais chaque parcelle, chaque veine gonflée. Je te décalotte; je veux sentir dans ma main ton gland si singulier presque disproportionné, parcourir du bout de mon doigt cette profonde couronne qui le délimite. Une goutte vient perler sur le tissu. Il est temps de quitter la route, de s'arrêter à la première aire de repos.
Nous voilà arrivés, quelques voitures sont garées autour des toilettes publiques, nous choisissons bien sûr le coin le plus reculé; Enfin, je libère ta verge,. La voici dressée, décalottée, en majesté devant moi, devant mes yeux. Ma bouche s'en empare. Je l'engloutis avidement tandis que ta tête bascule en arrière, tandis que d'une main tu marques le rythme.
Bientôt, tu céderas, bientôt, après avoir retenu ton souffle, après un long gémissement, de profonds spasmes, tu viendras dans ma bouche, dans ma gorge. Bientôt, une nouvelle fois, le don de ta semence.
Nous sommes bien. Ensemble. Au dessus de tout, comme en apesanteur.



28 octobre 2008

Apesanteur 1

En apesanteur I


la route défile devant nos yeux. Nous regagnons nos quartiers de campagne. Retrouver le calme; Se retrouver. Feu de cheminée, longues promenades dans les bois. Amis, bouquins, longues nuits.
En apesanteur; au dessus de la vie tonitruante.

27 octobre 2008

Ivri

IVRILIDER

BON, j'avoue avoir un petit faible pour ce chanteur israelien.

26 octobre 2008

Bouquins

LaporteDESenfers-L. gaudé


Matteo est pressé ce matin là. Matteo fait courir Pippo, son fils. Matteo est en retard. Pippo est fatigué, Pippo veut s’arrêter, souffler, respirer un peu mais Matteo le tire, l’entraîne, l’exhorte à avancer.

Mais ce matin là, cette minute là, cette seconde là, une fusillade dans les rues de Naples vient stopper net la course de Matteo et Pippo. Briser net leurs pas ; voler la vie de Pippo. Dévaster celle de Matteo et pulvériser celle de Guiliana, la mère, la femme, arrêter sa vie aussi sec que si c’était elle qui avait reçu la balle perdue.

Peut-on revenir d’entre les morts ? Que deviennent les nôtres, les âmes de nos défunts une fois que l’ombre les a englouties ? N’existent-elles plus que dans nos souvenirs et nos cœurs ? S’étiolent-elles lentement avec le temps et l’érosion de la mémoire ?

Laurent Gaudé a écrit ce livre pour ses morts. Pour illuminer leurs ténèbres et ce récit se transforme en conte qui se voile peu à peu de magie, de douceur, de souffrance aussi, de nostalgie et de poésie.

Matteo, abandonné par Guiliana, elle-même trop dévastée pour rester aux cotés de son mari, va chercher son fils là-bas, en Enfers. Parce qu’il existe une Porte, que lui montrera le Professore Provolone. Les ombres des morts s’y glissent pour effleurer les corps de ceux qui les pleurent, les caresser, leur parler. Cette partie du roman est à la fois âpre, douloureuse, et lumineuse :

« …les ombres étaient en effet d’une incandescence variable. Certaines brillaient comme des feux follets, d’autres étaient si pâles qu’elles semblaient presque transparentes. « C’est la règle aux pays des morts… les ombres auxquelles on pense encore au pays des vivants, celles dont on honore la mémoire et sur lesquelles on pleure, sont lumineuses. Les autres, les morts oubliés, se ternissent et glissent à toute allure vers le centre de la spirale… Dans le foule épaisse de ces dizaines de milliers d’ombres, il distinguait maintenant mille particularités. Certaines pleuraient en se déchirant les yeux, d’autres souriaient, embrassant la terre avec gratitude. « Regarde celle-là… elle a les joues baignées de pleurs et sourit. Elle vient de sentir qu’un vivant pense à elle et c’est quelqu’un dont elle n’aurait jamais imaginé qu’il puisse se souvenir d’elle avec autant d’affection. Regarde. D’autres pleurent et s’arrachent les cheveux parce qu’elles pensaient que leur mémoire serait célébrée et découvrent, avec rage, que personne ne songe plus à elles. Ni leurs proches, ni leurs parents. Elles se vident et ternissent. Elles deviennent de plus en plus pâles jusqu’à être totalement translucides et filent vers le néant. »

Jamais Laurent Gaudé ne sombre dans une sentimentalisme dégoulinant et encore moins un pathos écoeurant. Il y a la deuil, l’absence, les remords, la douleur et le néant, mais le tout est nimbé d’un halo de respect et de douceur, servi par une plume fluide, caressante, presque rassurante.

C'est toujours la même très belle écriture, toujours ces caractères hors normes, ces personnages "à coté" du monde. un seul reproche: la descente aux enfers, la dérive "roman mystique"; c'est Orphée 2008

Comme si nos morts voulaient nous chuchoter à l’oreille des mots de réconfort.

article très critique du nobs

18 octobre 2008

Opéra


Armi
de,
de Lully. Théâtre des Champs-Elysées, 17octobre

Une bordée de huées a accueilli le metteur en scène Robert Carsen à l'issue de la première représentation d'Armide, de Lully, que présentait, le mercredi 8 octobre, le Théâtre des Champs-Elysées à Paris. Pourtant, cette fois encore, le Canadien s'est tenu dans les limites paresseuses d'un bon chic bon genre visuel (entre le gris perlé des vitrines Dior, en face, avenue Montaigne, et la jonchée de roses rouges du film American Beauty) et a tout organisé autour d'un seul concept fétiche (le lit du roi), décliné ad nauseam, sur fond de mise à distance de l'objet historique référencé que constitue cet opéra Grand Siècle : on commence par une visite filmée de Versailles, au cours de laquelle un touriste, Renaud, s'endort sur le lit du roi. A la fin de l'ouvrage, juste après le climax qui voit Armide s'occire, on revient à la visite grotesque du début. Ah ! Ce n'était qu'un rêve... Armide est une méchante tentatrice, elle est donc en déshabillé rouge. Les esprits infernaux qu'elle excite sont bien sûr vêtus de la même tenue. Quand Renaud, devenu à son tour cruel, quitte Armide, comment Carsen l'habille-t-il ? De rouge, bien sûr. On reste ébahi devant l'usage de telles ficelles conceptuelles qui, par leur choix, obligent de surcroît à doubler, voire à tripler, des préludes et postludes pour meubler en musique les encombrements "dramaturgiques" de Carsen. TROU DE MÉMOIRE Le chef William Christie manque de précision et peine à trouver un équilibre dans la conduite des cinq actes de l'ouvrage. Les deux premiers défilent dans une sorte de flux presque indifférent, d'autres moments s'amollissent (le dernier air d'Armide) ou tombent d'eux-mêmes (l'acte IV, une scène de comédie souvent coupée). Il réussit en revanche la scène de ballet de l'acte II. La chanteuse Stéphanie d'Oustrac (Armide) compense ses faiblesses (raideur et émission basse des aigus) par une présence rayonnante et une diction parfaite. En Renaud, Paul Agnew, fin musicien habitué de ces rôles de ténor aigu, semblait absent et a eu un long trou de mémoire au cours du "Sommeil", le moment le plus connu de la partition. L'élément le plus convaincant de la soirée est la chorégraphie de Jean-Claude Gallotta, qui ne moque pas le legs baroque et parvient à finement réinventer une rhétorique aussi libre que respectueuse.
Renaud Machart
Article paru dans l'édition du 11.10.08


Monts & merveilles

monts&merveilles

voilà, je ne t'ai pas cru, mais tu l'as fait, tu as entièrement rasé ton corps. expression d'une grande lassitude, disais-tu , être lisse, transparent. Tu l'as fait. là sous la douche, tranquillement tu as passé le rasoir partout où tu le pouvais; tu m'as demandé de m'occuper du reste. Longuement, les lames du rasoir sont venues enlever ce que tu assimilais à des aspérités de la vie, des contrariétés. Comme si cela allait te faire renaître; l'oubli. Avec toute la douceur possible, je suis venu "virginifier" tes cuisses, ton dos, tes fesses. je bandais comme un fou tandis que chaque passage de lame me faisais "re" découvrir petit à petit ton trou du cul - rose- si souvent aimé.

Voilà, te voilà maintenant devant moi. Tout lisse, tout doux. Je te sêche, Je redécouvre ta queue que je connais pourtant si bien; je découvre enfin ces délicieux petits monts, roses, presque translucides, là juste au dessus de ton sexe. J'y pose doucement mes lèvres, cela semble si fragile! Surtout ne bande pas! Laisse-moi te parcourir de mes lèvres, laisse-moi m'inprégner de cette si grande douceur. Redeviens un bébé.

12 octobre 2008

Erotic religious

eroticreligious

Diego Tolomelli’s un artiste italien qui crée des vitraux pas toujours pour des églises. voir son site et un article sur le site de east Village Boys

Concert


Concert Staatskapelle de Dresde / Luisi

Théâtre des Champs-Élysées, Paris • 11.9.08 à 20h

Staatskapelle de Dresde, Fabio Luisi :
– Strauss : Don Juan
– Beethoven : concerto pour piano n°3 (Rudolf Buchbinder, piano)
– Brahms : symphonie n°4

magnifique programme, ultra classique certes. mais le chef se prend pour toscanini dans la gestuelle en tous cas.

L'orchestre ne suit pas vraiment. cela manque de coeur, d'émotion, d'unité.

c'est malgré tout un bon moment; une telle musique par un tel orchestre, même mal dirigé, cela fait quand même une bonne soirée.

08 octobre 2008

Gaël

HYMNEAGAEL
GaelGarciaBernal

"you don't mind being the cute boy, do you Adrian?
adrian : No I don't mind,somebody has to be the cute boy
otherwise there would be no cute boy"





Mike marton




MikelMarton


nouveau visage de la photographie de nu masculin devant et derrière l'objectif. toujours border line sur la ligne qui sépare l'art et la pornographie et se mettant en scène: "Through my eyes (and body) I want to express the male body in a challenging, yet sensitive way, as well a give the viewer a unique opportunity to step inside a stylized version of my own sexual fantasies."

quand on le voit, on comprend et apprécie qu'il aime à se mettre en scène son blog son site

07 octobre 2008

Bouquins


ligne de partage-NicholasEvans

Une famille banale, commune est bientôt anéantie par la perte d'un enfant, le couple se sépare, mais surtout quelle est la part de responsabilité de chacun dans la disparition d'Abbie ? La construction du livre est intéressante, l'auteur de 'L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux' part d'un point pour aller à un autre en passant par de nombreux retours en arrière. On retrouve aussi dans ce roman, les grands espaces américains, l'immensité des territoires. C'est un bon roman "d'été" qui ne restera néanmoins pas dans les annales.

21 septembre 2008

Sunday's movies

Sundaynightshortmovie

Petit film sans doute une nouvelle fois autobiographique; muet




20 septembre 2008

Spanish event

spanishevent








Des videos du monde entier. alternatif, pour le délire, pour le plaisir.
Cela bouge à Madrid et à Barcelone.
pour les amateurs, une carte postale "amusante" (penis pokey)









à
offrir à un copain pour son anniversaire!
watch the video!

19 septembre 2008

Guys!




guys

c'est la mode. tissus délicats, justes aux corps.
c'est un réel plaisir de vous regarder dans vos pulls ouverts sur vos poitrines si plates, quelques fois délicieusement poilues. quelques fois si délicatement glabres
Visages émaciés, corps longilignes.

cette mode vous va bien!

15 septembre 2008

Fringues

FringuesfromNYC

une nouvelle marque du groupe Abercrombie&fitch
une belle adresse à NYC , greenwich village
des photos de Bruce Weber
des mecs et des filles à tomber


tout y est!

12 septembre 2008

Opéra


staatskapell-dresden
Fabio Luisi
Rudolf Buchbinder (piano).
TCE le 11 septembre


Très beau, très classique programme pour mon premier concert de la saison 2008/09.
Strauss - don juan - poème symphonique
Beethoven le 3° concerto
Brahms - la 4° symphonie

Programme très clasique donc. Un chef qui se prend pour Toscanini ; coupe de cheveux, gestuelle, exubérance, tempi.
Mais tout cela sans grande finesse ni subtilité.
mais on ne rate pas un tel orchestre quand il vient à Paris


07 septembre 2008

Sunday's movies

Sundaynightshortmovie pourquoi les films de garçons finissent souvent mal. Pourquoi, les amours sont-elles pour la plus part du temps jamais heureuses; histoires courtes, désirs inassouvis, douleur. Bien souvent, la collection est longue, les scénaristes se racontent. Et, il est vrai, nous avons tous des histoires d'enfance, des histoires d'adolescence; amours secrets, amitiés exclusives. don du sang, lettres secrètes. Et puis, la fille arrive, la vie sépare, ... ici, deux frères se découvrent un amour absolu, physique l'un pour l'autre. C'est le plus grand tabou, la frontière que nul ne dépasse jamais. La punition divine n'est pas loin.

06 septembre 2008

Instants de rue

instantsderue



Profitons-en. Même si le tmps n'est pas précisement estival. On se balade encore en t-shirt, légers. Les mecs, vous êtes beaux. Beaux avec presque rien sur la peau. Juste un peu de tissu qui vous dévoile le temps d'un léger mouvement. il faut être là , juste cette seconde là pour vous découvrir un peu.
bientôt la grisaille, les manteaux, les pulls.

05 septembre 2008

Fier de toi




fier
detoi
Fier de toi, fier de ta pleine jeunesse. Tout entier dans ta verge dressée, tout entier dans ton désir. Désir concentré là , là au bout de cette queue dressée, expression majeure de ton désir, de ton désir de vivre, d'être, de donner, de recevoir.

Plein tout plein de ta sève, de ta jeunesse.

Peut être, derrière la porte de cette salle de bain, un inconnu de passage, un corps sublime ou simplement un corps désiré t'attend. Tu prends le temps, dernières minutes avant le don, dernières minutes avant le plaisir.

Tu es toi, tout entier, là, là dans ton instrument de plaisir , de désir.

03 septembre 2008

La première fois


la première fois
la première fois que j'ai connu l'homme, je l'ai déjà raconté. Quelques gouttes d'huiles sur mes tempes, des vagues intenses de plaisir, un regard plein de désir. L'abandon. nos corps se mêlèrent, les peaux glissantes de nos sueurs. Frénésie. Découverte. une peau rêche, un corps d'homme. des formes différentes, un membre, un membre objet actif du plaisir, l'objet du don. Et puis, l'intrusion, l'autre en moi, cette lutte, cette résistance, et puis l'abandon, on ne fait qu'un. une nouvelle vie.

02 septembre 2008

Le souvenir de toi

lesouvenirdetoi

Là, juste devant, le miroir de la salle de bain, c'est moi. Tout entier, tout plein de mon désir, seul. Mon corps, te réclame, mon corps électrisé, mon corps, chaque pore ouvert en attente de tes caresses, d'un nouveau dépassement. Je suis seul, la pensée de toi, le désir de toi, le souvenir de ton corps, le souvenir de ton désir. Mes cris, tes spasmes, tout cela se concentre sur ma queue, tout cela dresse mon désir; seul , je te dédierai, les giclées d'amour qui inonderont le miroir, l'image de moi dressé vers toi.
Toi, mon amour.

28 août 2008

Une première fois?

Unepremièrefois?


Il est là. enfin, il est là près de toi. Depuis combien de temps l'attendais-tu, depuis combien de temps attendais-tu ce moment, nul ne le sais. Peu importe, il est là. Bientôt, il sera à toi. Il est là; la chambre, ta chambre est baignée de lumière. il te regarde, d'un regard plein de désir, un peu gêné aussi, tandis qu'il se dévêtit, tandis que pour la première fois sans doute, il se découvre devant toi. toi qui déjà est tout entier prêt à le recevoir. offert. Tes yeux ne peuvent mentir, ton bras, ta main déjà semblent l'appeler, l'attirer vers toi. Vous allez vous aimer; vos corps , inondés de soleil, de tendresse froisseront les draps.
un moment d'éternité.




22 août 2008

Sunday

dimancheàORLY


je suis de ceux que les avions font rêver. De ceux qui regrettent le temps des terrasses d'aéroports, des dimanches à Orly. Le temps où les parisiens allaient guetter Concorde; pour le voir décoller, pour le voir atterrir.
Je suis de ceux qui aiment à débarquer sur la piste. Dès que la porte souffre, dès le premier pas sur la passerelle, on est pris par l'odeur du kérosène,le bruit du 747 qui décolle, là tout près. Il y a des jours où j'aimerais être Howard Hughes.

20 août 2008

Bouquins

MConnelly-ECHOPark


Il n'y a pas un seul autre auteur des polars actuels qui tienne un tel équilibre entre la logique et l'angoisse macabre, entre le réalisme documentaire et les clichés habituels du polar . Quand on fréquente l'oeuvre de Connelly pendant un certain temps, on reste médusé...

Bouquins

belleSOEURPAtrickBESSON


Dans Belle-soeur, Patrick Besson raconte ce qui serait une tragédie chez des auteurs solennels, sous des plumes de plomb. Lui y met de la fantaisie, une gaieté irrévérencieuse, à moins que ce ne soit la vivace mélancolie du destin. Ne pas se fier à l'apparente légèreté, à la désinvolture des personnages: ils sont féroces. Tendrement féroces.

Effeuillage

effeuillage

la chambre baigne dans une légère pénombre. Celle des après midi d'été. Quand il fait si chaud dehors. Les draps sont frais. Une petite brise fait danser les rideaux. Silence.

Tu dors ou fait semblant de dormir. Peu importe, tu es à moi. Offert, je le sais. Je m'approche de toi. Tu ne portes plus que ton caleçon .celui que j'aime. Avec de vrais boutons ; des boutons – deux à la ceinture, un pour clore la braguette. Des boutons que l'on peut défaire. Doucement, l'un après l'autre. Découvrir; découvrir pas à pas.

Tu dors ou tu fais semblant de dormir. Peu importe, tu es à moi. Maintenant, maintenant que j'ai fait glisser ton caleçon . Maintenant, je te vois. Je ne toucherai à rien; en tous cas pas tout de suite. Je veux prolonger , retenir cet instant, cette infinie douceur, celle de ta peau, si fine, si fragile: translucide presque. Et puis, aussi, la perfection de tes couilles, comme deux petites prunes prêtes à cueillir; fermes, offertes. Retenir ce moment, avant que tout bascule, avant que l'on s'égare. Cet instant d'avant le désir, d'avant le désordre.

Un petit air frais balaie la chambre. Dans les draps défaits du lit, tu remue doucement. Tu dors ou tu fais semblant, peu importe, tu es à moi maintenant.



13 août 2008

Biblical stories



Adi Nes
Biblical Stories

A travers ses photographies, Adi Nes tente de répondre à la question de la place de l’artiste dans un pays en situation de conflit. Il présente ici sa nouvelle série « Biblical Stories», fondée sur des épisodes de l’Ancien Testament et mettant en scène des gens de la rue, les sans-abri, les marginaux vivants des vies misérables sans but ni avenir.
diaporama

Écoute en boucle

ecouteenboucletoo

anny Winehouse!

Un bijou, la quintessence de la soul! un pied monumental.

12 août 2008

Toxicoweb

toxicoWEB


seul à Paris. En attendant le week end , le retour à la maison, le retour vers toi. Mes journées sont plutôt METROBOULOTWEB. Le frigo est vide. Je rentre du boulot; plutôt moins tard que d'habitude. Arrêt chez le chinois ou le grec, ou le libanais. diner vite expédié. Puis je surfe. je parcoure les sites de mecs à la recherche de quoi? Hier je suis allé chez IDM. je raconterai . Sûr.

11 août 2008

Sauvage,brut,masculin

sauvagebrutmasculin






Un autre photographe. amateur ou pro, on s'en fout. c'est brut, bourré d'amitié virile. De tendresse aussi.

john kightley