31 décembre 2011
03 décembre 2011
29 novembre 2011
25 novembre 2011
23 novembre 2011
cadeau de noël
Rien que pour moi. Un super jouet à brancher ou débrancher quand on le veut. Un jouet qui est comme on LE rêve, avec SON sourire, SON regard d'un bleu profond.
Calme, sans problèmes... Rien qu'un jouet.
amours anciennes
album web |
que sont mes amis devenus, rutebeuf
Que sont mes amis devenus
Que j'avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L'amour est morte
Ce sont amis que vent me porte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta
Avec le temps qu'arbre défeuille
Quand il ne reste en branche feuille
Qui n'aille à terre
Avec pauvreté qui m'atterre
Qui de partout me fait la guerre
Au temps d'hiver
Ne convient pas que vous raconte
Comment je me suis mis à honte
En quelle manière
Que sont mes amis devenus
Que j'avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L'amour est morte
Le mal ne sait pas seul venir
Tout ce qui m'était à venir
M'est advenu
Pauvre sens et pauvre mémoire
M'a Dieu donné, le roi de gloire
Et pauvre rente
Et droit au cul quand bise vente
Le vent me vient, le vent m'évente
L'amour est morte
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta
16 novembre 2011
Nectar
Un long spasme. Intense, arrachant de mes entrailles un gémissement sans fin. Tous les muscles de mon corps tendus, contractés. Concentrés en un ultime effort comme pour exprimer chaque goutte de cette précieuse semence, de ce délicieux nectar que tu a réclamé avec tant de vigueur, tant de persévérance. Le voici qui gicle violemment sur ton visage, ta bouche. Tu t'en délecte! Ta langue, cherche avidement, goulument chaque goutte coulant sur tes joues, déjà le précieux liquide se répand sur ton cou, sur ton torse. Ensemble, maintenant partageons ce moment. Du bout des doigts, du bout de la langue, je recueille moi aussi, lare irise gelée pour te l'apporter en pâture.
Le gout salé qui se mêle si bien à nos salives, nous ravit. C'est un festin, c'est le festin de S.
10 novembre 2011
Sympa les potes
Sympa les potes. Ils viennent chez toi, se goinfrent de chips de bière et de sauciflard. Ils sont là, ils sont censés être là pour t'écouter raconter tes malheurs, t'aider à surmonter tes problèmes, remonter la pente, quoi! Et puis voilà, tu causes , tu causes et puis voilà le résultat!
Merci mon pote.
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06 novembre 2011
Pudeur dans les vestiaires **
Je ne sais pas pourquoi, mais les mecs pudiques dans les vestiaires m'émeuvent.
L'autre jour, c'était au CMG Palais Royal pourtant, j'ai vu un jeune gars, bien foutu de sa personne. Une belle gueule de charmeur, un corps ni moche ni beau mais simplement bien foutu. Et bien ce jeune mec, s'est arrangé pour se déshabiller comme on pouvait le faire quand on était gamins et que l'on ne voulait surtout pas que l'on (qui, "on", d'ailleurs?..) découvre nos premiers poils pubiens ou puisse jauger, critiquer, que sais-je, notre zigounette toute neuve.
Il a donc entouré sa taille de sa serviette, la tenant d'une main pour faire glisser tant bien que mal son slip de l'autre. Et je vous fait grâce de l'opération suivante, remettre son slip après la douche, je n'ai pas attendu pour voir!
31 octobre 2011
25 octobre 2011
24 octobre 2011
exhib sur la toile 2 **
Et pour continuer, en voici un qui n’hésite pas à se branler en avion ou en train peu importe,.....
Bon j'avoue l'avoir fait une fois avec un pote, dans un avion entre deux villes européennes. c'était excitant, et cela donna du goût au repas plutôt fade de la classe eco....
Promiscuité
Le service Militaire,
Non, non aucun regret. Je ne sais si cela fut une bonne idée de le supprimer mais en tous cas c'est fait. Il n'y en a plus. Et même si je pense que c'était malgré tout, malgré effectivement le coté définitivement militaire et donc définitivement à exclure, quand même une période d’intégration, de mélange des cultures, des classes. Militaire, Dans cette promiscuité forcée et longue, si longue, au delà des clichés, des mascarades et des scénarios bien rodés des jeux de mecs.
Donc pas de regret. Mais je ne puis dire aujourd'hui que ce ne fut pas un bon moment et je ne puis dire que je n'y ai rien appris. Bien sûr il y avait l'ennui, la vacuité des tâches. Mais ce fut aussi une formidable rencontre, un émouvant mélange des genres. il y avait aussi une franche camaraderie, celle des exercices faits en équipes, du sport collectif. beaucoup de tendresse.
Cette promiscuité c'était finalement une sorte de zone démilitarisée des genres. Tout le monde était hétéro "bien sûr", mais les discussions, les jeux à caractère sexuel étaient fréquents.
Je me souviens de scènes de douches torrides, de longues soirées d'été où il fait si chaud qu'il faut dormir à poil, forcément à poil! - "même le slip tient chaud"
!..
Sans compter les soirées concours de longueur de bite ou mieux encore les soirées branlettes " - tu comprends faute
de nanas, pourquoi pas! cela ne fait pas de nous des PD - ".
Bien sûr cela n'a qu'un temps. tous ces "camarades "s'éparpillent" très vite aux quatre coins de la France. Avec quelques uns, on garde un moment le contact, sans bien sûr se reparler ni même évoquer, ces séances hors des rails et des normes. Ils vous présentent leur "meuf" et très vite on s'oublie.
Je n'ai gardé qu'un seul ami de cette période, mais il était ouvertement gay et nous fumes amants longtemps.
La nave va.
Ce qui est étonnant, magie de la webosphère, c'est que l'on trouve des tas de sites de militaires en action (américains) et où l'on voit que même en Iraq ou Ailleurs, cela reste un terrain démilitarisé des genres....
Ce qui est étonnant, magie de la webosphère, c'est que l'on trouve des tas de sites de militaires en action (américains) et où l'on voit que même en Iraq ou Ailleurs, cela reste un terrain démilitarisé des genres....
20 octobre 2011
Maintenant je vis entre deux villes (1). 25/4/9
Sensualité, tes mains m'agrippent, tu me cherches, je te trouve. Bientôt ce jeu n'en sera plus un. bientôt nous communierons. plus, plus encore.
Mais là, je suis sur ce grand lit trop grand, dans cette grande chambre trop froide, dans cette grande ville, inconnue. la baie vitrée me rend son visage glacé de métropole sauvage. les néons clignotent, les fenêtres des tours s'éteignent et s'allument. En bas , tout en bas, la rue assourdissante vibre. je suis seul
18 octobre 2011
at home
Un site où simplement vous posez chez vous, tels que vous souhaitez que l'on vous voit, tels que vous souhaitez que l'on vous perçoive.
Nouveau et intéressant....
Nouveau et intéressant....
You in your bedroom
09 octobre 2011
Cinoche
Drive est sans nul doute le plus américain des films du Danois Nicolas Winding Refn, de très loin le meilleur cinéaste de son pays, C'est à lui que l'on doit la trilogie Pusher (1996-2005) et Bronson (2008), autres exemples d'un nouveau cinéma noir dont le réalisateur, couronné du Prix de la mise en scène au dernier Festival de Cannes, est aujourd'hui le plus brillant représentant. Le lieu où se déroule Drive, Los Angeles, principalement des zones industrielles, le choix de la musique, plutôt electro nous ramènent du côté des années 1980, de Michael Mann et de la série télévisée « Miami Vice », avec un talent à dépasser ces références sans tomber dans l'hommage. L'intrigue du film, minimale - un cascadeur accepte de participer à un casse pour aider la femme dont il est tombé amoureux, le casse tournant mal, les cadavres s'entassent -, tient du roman de chevalerie. Tandis que l'interprétation de Ryan Gosling (photo), un cure-dent dans la bouche, sobre et volontairement effacé, se rapproche du Clint Eastwood des films de Sergio Leone ou de Steve McQueen dans Bullitt. Il devient la vedette, fragile, discrète, et pourtant charismatique du meilleur film criminel de ces dernières années.
Drive, film américain de Nicolas Winding Refn. Avec Ryan Gosling, Carey Mulligan. 1 h 35.
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Sex parties in NYC
Oui cela existe!.... mais à NYC. Pas à Paris ou alors je ne connais pas.
Il y a un site : "www.blogger.com/www.adventuresingroupsex.blogspot.com/" (au moins un) qui indique toutes les sex parties qui se déroulent à NYC. Garages, boites lofts, apparts,.. bref tout pour s'envoyer en l'air à plein ...
Avis aux amateurs qui voyagent vers la big apple.
Il y a un site : "www.blogger.com/www.adventuresingroupsex.blogspot.com/" (au moins un) qui indique toutes les sex parties qui se déroulent à NYC. Garages, boites lofts, apparts,.. bref tout pour s'envoyer en l'air à plein ...
Avis aux amateurs qui voyagent vers la big apple.
sunday's movie
08 octobre 2011
les amants endormis
LES AMANTS ENDORMIS
Toute la nuit, il leur a poussé des ailes.
Maintenant ils dorment.
Et je vous jure bien qu'ils sont beaux.
Beaux de fragilité autant que de force,
D'étrange légèreté, alourdis qu'ils sont,
Dans cette nudité abandonnée à la tiédeur d'un sommeil d'amants,
D'amants apaisés,
D'amants épuisés de trop de chaleurs échangées,
De trop de caresses dans tous les sens, d'étreintes et de baisers,
De semence de l'autre récoltée par chacun en lui - même,
La main sur l'autre, posée là, comme pour protéger l'innocence
Du parfait sexe jumeau pareil au sien.
De tous les muscles de leurs jambes démêlées,
Ils ont largué les amarres loin du vulgaire
Toujours rapide au rire excrémentiel
Quand il lapide par l'ordure du mépris et de l'insulte.
mais ces deux là se sont aimés, s'aiment et s'aimeront.
Envers et contre tout et malgré tout.
Et moi, je vous le jure,
Ils sont beaux.
Parce qu'ils se désirent, parce qu'ils s'aiment,
Parce que du désir ils ont fait naître l'amour.
Comme de la graine naît la fleur.
Et cela est rare. Et cela est précieux.
Et pour cela,
Je vous le jure,
Ils sont beaux.
Maintenant ils dorment.
Et je vous jure bien qu'ils sont beaux.
D'étrange légèreté, alourdis qu'ils sont,
Dans cette nudité abandonnée à la tiédeur d'un sommeil d'amants,
D'amants apaisés,
D'amants épuisés de trop de chaleurs échangées,
De trop de caresses dans tous les sens, d'étreintes et de baisers,
De semence de l'autre récoltée par chacun en lui - même,
La main sur l'autre, posée là, comme pour protéger l'innocence
Du parfait sexe jumeau pareil au sien.
Ils ont largué les amarres loin du vulgaire
Toujours rapide au rire excrémentiel
Quand il lapide par l'ordure du mépris et de l'insulte.
mais ces deux là se sont aimés, s'aiment et s'aimeront.
Envers et contre tout et malgré tout.
Ils sont beaux.
Parce que du désir ils ont fait naître l'amour.
Comme de la graine naît la fleur.
Et cela est rare. Et cela est précieux.
Je vous le jure,
Ils sont beaux.
02 octobre 2011
que tous bandent!
« Que tous bandent, que tous s’embrasent,
Accourez, putains et ribauds ;
Que vois-je ! Où suis-je !
Oh ! Douce extase.
Les cieux n’ont point d’objets si beaux !
Des couilles en cercle arrondies,
Des cuisses fermes et polies,
Des bataillons de vits bandés,
Des culs ronds sans poil et sans crottes,
Des tétons, des cons et des mottes,
D’un torrent de foutre inondé !
Tout se prépare et se succède
Par ce plaisir qu’on nomme abus ;
Homme, oiseau, poisson, quadrupède,
Sans ce plaisir ne seraient plus.
Le foutre est la base du monde, le foutre est la source féconde
Qui rend l’univers éternel ;
Et le grand tout que l’on admire,
Ce bel univers à vrai dire,
N’est qu’un noble et vaste bordel. »
Alexis Piron (1689 à 1773)
Accourez, putains et ribauds ;
Que vois-je ! Où suis-je !
Oh ! Douce extase.
Les cieux n’ont point d’objets si beaux !
Des couilles en cercle arrondies,
Des cuisses fermes et polies,
Des bataillons de vits bandés,
Des culs ronds sans poil et sans crottes,
Des tétons, des cons et des mottes,
D’un torrent de foutre inondé !
Tout se prépare et se succède
Par ce plaisir qu’on nomme abus ;
Homme, oiseau, poisson, quadrupède,
Sans ce plaisir ne seraient plus.
Le foutre est la base du monde, le foutre est la source féconde
Qui rend l’univers éternel ;
Et le grand tout que l’on admire,
Ce bel univers à vrai dire,
N’est qu’un noble et vaste bordel. »
Alexis Piron (1689 à 1773)
28 septembre 2011
foutre
Son seul désir : me posséder,
Sucer ma force, boire ma semence.
Sa bouche se colle à ma racine. style="margin:5px" height="281" align="left" border="0" width="271">
Première jouissance qui me cisaille.
J’explose, je gicle et je l’inonde
Jusqu’à mon cri qui le transperce
Dans son coulis de haut fourneau.
Je fonds, sur sa langue qui m'absorbe.
Sa main persiste. Je laisse aller.
Je suis noyé et je demeure.
La nuit descend sur ses paupières.
Elle se repose sur mon orgasme.
Je commence à l’aimer, je crois.
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25 septembre 2011
24 septembre 2011
Fusion,
Sous tes yeux mi clos défilent des images. Flashs érotiques, sexes érigés, corps suants, chevauchés, transpercés, feux d'artifices de semence.
Tu passes et repasses devant les fenêtres ouvertes; quelqu'un, quelqu'un pour assouvir une telle envie. Le sang gonfle les veines de ton sexe endolori.
Quelqu'un, quelqu'un pour assouvir sa soif!
Gestes
Geste si souvent répété, Douceur de la peau. Nue. Chaleur moite, effluves musquées. couronne de poils blonds. Objet de mon plaisir, bientôt épanoui. Objet de ton désir, Bientôt dressé. - Posted using BlogPress from my iPad
19 septembre 2011
La couleur de la chair
Juste pour l'image, la couleur de la chair qui se marie si bien avec le blanc des draps défaits, la tendre lumière du jour baissant.
Et cet étroit filet de tissu qui protège si peu et pourtant me comble de désir. Ce mince filet de tissu qui me sépare encore de lui...
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La différence
Il y a des détails qui ne trompent pas. Il y des images fugaces comme volées qui s'inscrivent à jamais sur votre rétine amoureuse. Personne ne peut ne serait-ce que les imaginer tant elles frisent le subliminal. Mais vous porté par un amour si fou, vous l'avez capté inscrit dans votre mémoire. C'est descendu tout bas comme une vague de chaleur instantanée. Un picotement à l'entrejambe, un élan frissonnant. Juste un instant, une image pourtant. Il a levé le bras pour se gratter la tête ou l'oreille, un peu de lui est apparu, un peu de chair Parmi les tissus. Rien, déjà rien. Mais c'est inscrit.
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18 septembre 2011
Déambulations
Tu traines ton ennui dans le capharnaüm de l'appartement. Matin sans perspectives, vacuité facebookienne. Même pas envie de mettre le nez dehors, Même pas envie de s'habiller. Un dimanche maussade, un après-midi au sauna? Trainer en ville? Tu n'en sais rien, Facebook est silencieux. Envie de retourner au lit.
-
14 septembre 2011
Zone démilitarisée **
Nous sommes arrivés pratiquement en même temps. Juste le temps de passer à la caisse, de se voir remettre le classique "clé & serviette" et nous voilà à nous dévêtir sans un mot. Côte à côte mais sans un mot; sans un regard même. Surtout.
C'est une sorte de zone "démilitarisée" que ces vestiaires clairs obscurs, antichambres des saunas et autres clubs de consommation sexuelle. Sans un mot ici, indifférence totale ici mais dès le sas passé la chasse commence et celui que l'on a feint d'ignorer quelques minutes auparavant sera devenue proie.
Et voilà que ce mec qui se dessape là juste devant moi, enlevant calmement,
simplement un à un ses vêtements me met immédiatement sous tension.
Un corps massif mais cependant mobile et élégant dans la manière d'ôter son sweat shirt, de défaire sa ceinture, de baisser son pantalon me dévoilant des fesses charnues et superbement poilues.
Je ne puis le quitter des yeux. peu à peu, un corps d'un naturel insolent, sauvage se meut tranquillement devant moi. Je le veux. Je veux caresser, adorer cette poitrine, ce ventre, ces fesses si délicieusement poilues. Je veux m'enivrer de cet arôme musqué qui s'en dégage.
Je le veux. Je veux tenir dans mes mains, dans ma bouche, plus peut être cette queue épaisse, ces lourdes couilles qui se accompagnant ses mouvements , se meuvent à m'en faire perdre la tête.
Je le veux.
C'est une sorte de zone "démilitarisée" que ces vestiaires clairs obscurs, antichambres des saunas et autres clubs de consommation sexuelle. Sans un mot ici, indifférence totale ici mais dès le sas passé la chasse commence et celui que l'on a feint d'ignorer quelques minutes auparavant sera devenue proie.
Et voilà que ce mec qui se dessape là juste devant moi, enlevant calmement,
simplement un à un ses vêtements me met immédiatement sous tension.
Un corps massif mais cependant mobile et élégant dans la manière d'ôter son sweat shirt, de défaire sa ceinture, de baisser son pantalon me dévoilant des fesses charnues et superbement poilues.
Je ne puis le quitter des yeux. peu à peu, un corps d'un naturel insolent, sauvage se meut tranquillement devant moi. Je le veux. Je veux caresser, adorer cette poitrine, ce ventre, ces fesses si délicieusement poilues. Je veux m'enivrer de cet arôme musqué qui s'en dégage.
Je le veux. Je veux tenir dans mes mains, dans ma bouche, plus peut être cette queue épaisse, ces lourdes couilles qui se accompagnant ses mouvements , se meuvent à m'en faire perdre la tête.
Je le veux.
12 septembre 2011
nuit d'hôtel **
Et revoilà le rythme effréné revenu. Revoilà, les lounges d’aéroports, les hôtels confortables mais solitaires. Les chambres glacées avec vues . skylines multicolores, tracés de boeing dans le ciel, room service affables mais transparents.
Alors, que faire d'autres si non errer dans la matrice, voguer dans l’éther à la rencontre d’êtres de chair et de sang mais pour la circonstance, ectoplasmes de zéros et de uns.
Pourtant, le courant va passer, là dans la matrice les corps se rencontreront, les sexes se dresseront, et la semence à flots coulera sous les bravos de la foule éthérée".
comment s'appelait-il déjà celui qui quelques instants plutôt me disait des choses tendres; des choses crues aussi tout en m'encourageant à lui offrir les lieux les plus intimes de mon anatomie. Celui enfin, qui branlait en cadence avec moi un superbe et fier vît; juste pour être sûr de venir en même temps que moi. juste pour être sûr que nos halètements, de concert, comblerait la toile.
une nuit encore, une nuit de plus dans l’éther
12911
11 septembre 2011
Je n'y peux rien.
Que veux-tu que je te dises! Quand je te vois là, affalé sur notre grand lit, lisant tranquillement sous ce timide soleil parisien. Quand je vois tes jambes légèrement écartées, le coton fatigué de ton ck glissé entre tes fesses, là, juste là où je me sens si bien d'habitude. Que veux-tu que je te dises, si non que c'est un instant de bonheur, un instant magique, hors de tout et surtout du temps. Oh! Bien sûr je te laisserai tranquille, ne voulant rompre pour rien au monde ce délicieux équilibre. bien sûr, l'envie de venir y glisser la main, l'envie de flatter ces formes aimées me taraudera, mais non, que veux-tu que je te dises, ne rompons pas la magie.
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05 septembre 2011
Madeleine de Proust
Voila, il fut un temps où je ne savais pas. Je faisais mais tout au fond de moi, je j'aimais pas. Il le fallait, c'est pour cela que je le faisais, c'est pour toi que je le faisais. On riait, on se foutait d'elles. On s'en foutait, finalement, pour toi, pour moi, l'essentiel c'était de se marrer - ensemble- toi ET moi. Et puis la vie, la vie,..... Toi finalement tu as aimé puis tu l'as aimée. Moi, je t'aimais et forcement, forcement je me suis détourné de toi.
Mais toujours, encore, tu es là au creux de mon ventre. Une envie, un grand manque.
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04 septembre 2011
fata morgana
Lober Nogen, est une communauté artistique fondée à Fatamorgana L'école danoise de photographie d'art à Copenhague en août 2006.
L'idée maîtresse de Lober Nogen est de «courir nu» - le cœur de la communauté se compose de six photographes venus de France, de Norvège et du Danemark.
L'idée générale est d'explorer ce que les six membres fondateurs ont essentiellement en commun. Les "Styles personnels" et les frontières sont annulés et la vanité est laissée de coté dans une tentative enfantine de se perdre soi-même dans la redécouverte de ce qui est si familier au groupe: la photographie.
Le site
L'idée maîtresse de Lober Nogen est de «courir nu» - le cœur de la communauté se compose de six photographes venus de France, de Norvège et du Danemark.
L'idée générale est d'explorer ce que les six membres fondateurs ont essentiellement en commun. Les "Styles personnels" et les frontières sont annulés et la vanité est laissée de coté dans une tentative enfantine de se perdre soi-même dans la redécouverte de ce qui est si familier au groupe: la photographie.
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