28 septembre 2011

foutre







Son seul désir : me posséder,
Sucer ma force, boire ma semence.
Sa bouche se colle à ma racine. style="margin:5px" height="281" align="left" border="0" width="271">
Première jouissance qui me cisaille.

J’explose, je gicle et je l’inonde
Jusqu’à mon cri qui le transperce
Dans son coulis de haut fourneau.





Je fonds, sur sa langue qui m'absorbe.

Sa main persiste. Je laisse aller.
Je suis noyé et je demeure.
La nuit descend sur ses paupières.
Elle se repose sur mon orgasme.


Je commence à l’aimer, je crois.




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25 septembre 2011

Sunny sunday




Just at home, what else?!


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24 septembre 2011

Fusion,


Tu erres dans les pièces vides, immaculées, blanches de cet appartement. Tu erres nu ou presque dans la fraicheur de ce dédale inconnu. Tu erres et te consumes. Les yeux mi clos, tu erres Laissant tes mains te caresser. Tu te consumes de désir. Tu crierais presque si tu n'étais seul.
Sous tes yeux mi clos défilent des images. Flashs érotiques, sexes érigés, corps suants, chevauchés, transpercés, feux d'artifices de semence.
Tu passes et repasses devant les fenêtres ouvertes; quelqu'un, quelqu'un pour assouvir une telle envie. Le sang gonfle les veines de ton sexe endolori.
Quelqu'un, quelqu'un pour assouvir sa soif!

Gestes





Geste si souvent répété, Douceur de la peau. Nue. Chaleur moite, effluves musquées. couronne de poils blonds. Objet de mon plaisir, bientôt épanoui. Objet de ton désir, Bientôt dressé. - Posted using BlogPress from my iPad

bad mood today


19 septembre 2011

La couleur de la chair







Juste pour l'image, la couleur de la chair qui se marie si bien avec le blanc des draps défaits, la tendre lumière du jour baissant.
Et cet étroit filet de tissu qui protège si peu et pourtant me comble de désir. Ce mince filet de tissu qui me sépare encore de lui...



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La différence




Il y a des détails qui ne trompent pas. Il y des images fugaces comme volées qui s'inscrivent à jamais sur votre rétine amoureuse. Personne ne peut ne serait-ce que les imaginer tant elles frisent le subliminal. Mais vous porté par un amour si fou, vous l'avez capté inscrit dans votre mémoire. C'est descendu tout bas comme une vague de chaleur instantanée. Un picotement à l'entrejambe, un élan frissonnant. Juste un instant, une image pourtant. Il a levé le bras pour se gratter la tête ou l'oreille, un peu de lui est apparu, un peu de chair Parmi les tissus. Rien, déjà rien. Mais c'est inscrit.



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18 septembre 2011

Déambulations




Tu traines ton ennui dans le capharnaüm de l'appartement. Matin sans perspectives, vacuité facebookienne. Même pas envie de mettre le nez dehors, Même pas envie de s'habiller. Un dimanche maussade, un après-midi au sauna? Trainer en ville? Tu n'en sais rien, Facebook est silencieux. Envie de retourner au lit. - 

14 septembre 2011

Zone démilitarisée **



Nous sommes arrivés pratiquement en même temps. Juste le temps de passer à la caisse, de se voir remettre le classique "clé & serviette" et nous voilà à nous dévêtir sans un mot. Côte à côte mais sans un mot; sans un regard même. Surtout.
C'est une sorte de zone "démilitarisée" que ces vestiaires clairs obscurs, antichambres des saunas et autres clubs de consommation sexuelle. Sans un mot ici, indifférence totale ici mais dès le sas passé la chasse commence et celui que l'on a feint d'ignorer quelques minutes auparavant sera devenue proie.

Et voilà que ce mec qui se dessape là juste devant moi, enlevant calmement,
simplement un à un ses vêtements me met immédiatement sous tension.
Un corps massif mais cependant mobile et élégant dans la manière d'ôter son sweat shirt, de défaire sa ceinture, de baisser son pantalon me dévoilant des fesses charnues et superbement poilues.
Je ne puis le quitter des yeux. peu à peu, un corps d'un naturel insolent, sauvage se meut tranquillement devant moi. Je le veux. Je veux caresser, adorer cette poitrine, ce ventre, ces fesses si délicieusement poilues. Je veux m'enivrer de cet arôme musqué qui s'en dégage.
Je le veux. Je veux tenir dans mes mains, dans ma bouche, plus peut être cette queue épaisse, ces lourdes couilles qui se accompagnant ses mouvements , se meuvent à m'en faire perdre la tête.
Je le veux.



12 septembre 2011

nuit d'hôtel **

Et revoilà le rythme effréné revenu. Revoilà, les lounges d’aéroports, les hôtels confortables mais solitaires. Les chambres glacées avec vues . skylines multicolores, tracés de boeing dans le ciel, room service affables mais transparents.
Alors, que faire d'autres si non errer dans la matrice, voguer dans l’éther à la rencontre d’êtres de chair et de sang mais pour la circonstance, ectoplasmes de zéros et de uns.
Pourtant, le courant va passer, là dans la matrice les corps se rencontreront, les sexes se dresseront, et la semence à flots coulera sous les bravos de la foule éthérée".
comment s'appelait-il déjà celui qui quelques instants plutôt me disait des choses tendres; des choses crues aussi tout en m'encourageant à lui offrir les lieux les plus intimes de mon anatomie. Celui enfin, qui branlait en cadence avec moi  un superbe et fier vît; juste pour être sûr de venir en même temps que moi. juste pour être sûr que nos halètements, de concert, comblerait la toile. 

une nuit encore, une nuit de plus dans l’éther


12911


11 septembre 2011

Je n'y peux rien.




Que veux-tu que je te dises! Quand je te vois là, affalé sur notre grand lit, lisant tranquillement sous ce timide soleil parisien. Quand je vois tes jambes légèrement écartées, le coton fatigué de ton ck glissé entre tes fesses, là, juste là où je me sens si bien d'habitude. Que veux-tu que je te dises, si non que c'est un instant de bonheur, un instant magique, hors de tout et surtout du temps. Oh! Bien sûr je te laisserai tranquille, ne voulant rompre pour rien au monde ce délicieux équilibre. bien sûr, l'envie de venir y glisser la main, l'envie de flatter ces formes aimées me taraudera, mais non, que veux-tu que je te dises, ne rompons pas la magie.



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remember?

05 septembre 2011

Madeleine de Proust




Voila, il fut un temps où je ne savais pas. Je faisais mais tout au fond de moi, je j'aimais pas. Il le fallait, c'est pour cela que je le faisais, c'est pour toi que je le faisais. On riait, on se foutait d'elles. On s'en foutait, finalement, pour toi, pour moi, l'essentiel c'était de se marrer - ensemble- toi ET moi. Et puis la vie, la vie,..... Toi finalement tu as aimé puis tu l'as aimée. Moi, je t'aimais et forcement, forcement je me suis détourné de toi.
Mais toujours, encore, tu es là au creux de mon ventre. Une envie, un grand manque.



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04 septembre 2011

fata morgana


Lober Nogen, est une communauté artistique fondée à Fatamorgana L'école danoise de photographie d'art à Copenhague en août 2006.
L'idée maîtresse de Lober Nogen est de «courir nu» - le cœur de la communauté se compose de six photographes venus de France, de Norvège et du Danemark.

L'idée générale est d'explorer ce que les six membres fondateurs ont essentiellement en commun. Les "Styles personnels" et les frontières sont annulés et la vanité est laissée de coté dans une tentative enfantine de se perdre soi-même dans la redécouverte de ce qui est si familier au groupe: la photographie.
LienLe site


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sunday(s movies


toujours, mes petits fantasmes & délires vestiaires!