31 octobre 2011
25 octobre 2011
24 octobre 2011
exhib sur la toile 2 **
Et pour continuer, en voici un qui n’hésite pas à se branler en avion ou en train peu importe,.....
Bon j'avoue l'avoir fait une fois avec un pote, dans un avion entre deux villes européennes. c'était excitant, et cela donna du goût au repas plutôt fade de la classe eco....
Promiscuité
Le service Militaire,
Non, non aucun regret. Je ne sais si cela fut une bonne idée de le supprimer mais en tous cas c'est fait. Il n'y en a plus. Et même si je pense que c'était malgré tout, malgré effectivement le coté définitivement militaire et donc définitivement à exclure, quand même une période d’intégration, de mélange des cultures, des classes. Militaire, Dans cette promiscuité forcée et longue, si longue, au delà des clichés, des mascarades et des scénarios bien rodés des jeux de mecs.
Donc pas de regret. Mais je ne puis dire aujourd'hui que ce ne fut pas un bon moment et je ne puis dire que je n'y ai rien appris. Bien sûr il y avait l'ennui, la vacuité des tâches. Mais ce fut aussi une formidable rencontre, un émouvant mélange des genres. il y avait aussi une franche camaraderie, celle des exercices faits en équipes, du sport collectif. beaucoup de tendresse.
Cette promiscuité c'était finalement une sorte de zone démilitarisée des genres. Tout le monde était hétéro "bien sûr", mais les discussions, les jeux à caractère sexuel étaient fréquents.
Je me souviens de scènes de douches torrides, de longues soirées d'été où il fait si chaud qu'il faut dormir à poil, forcément à poil! - "même le slip tient chaud"
!..
Sans compter les soirées concours de longueur de bite ou mieux encore les soirées branlettes " - tu comprends faute
de nanas, pourquoi pas! cela ne fait pas de nous des PD - ".
Bien sûr cela n'a qu'un temps. tous ces "camarades "s'éparpillent" très vite aux quatre coins de la France. Avec quelques uns, on garde un moment le contact, sans bien sûr se reparler ni même évoquer, ces séances hors des rails et des normes. Ils vous présentent leur "meuf" et très vite on s'oublie.
Je n'ai gardé qu'un seul ami de cette période, mais il était ouvertement gay et nous fumes amants longtemps.
La nave va.
Ce qui est étonnant, magie de la webosphère, c'est que l'on trouve des tas de sites de militaires en action (américains) et où l'on voit que même en Iraq ou Ailleurs, cela reste un terrain démilitarisé des genres....
Ce qui est étonnant, magie de la webosphère, c'est que l'on trouve des tas de sites de militaires en action (américains) et où l'on voit que même en Iraq ou Ailleurs, cela reste un terrain démilitarisé des genres....
20 octobre 2011
Maintenant je vis entre deux villes (1). 25/4/9
Sensualité, tes mains m'agrippent, tu me cherches, je te trouve. Bientôt ce jeu n'en sera plus un. bientôt nous communierons. plus, plus encore.
Mais là, je suis sur ce grand lit trop grand, dans cette grande chambre trop froide, dans cette grande ville, inconnue. la baie vitrée me rend son visage glacé de métropole sauvage. les néons clignotent, les fenêtres des tours s'éteignent et s'allument. En bas , tout en bas, la rue assourdissante vibre. je suis seul
18 octobre 2011
at home
Un site où simplement vous posez chez vous, tels que vous souhaitez que l'on vous voit, tels que vous souhaitez que l'on vous perçoive.
Nouveau et intéressant....
Nouveau et intéressant....
You in your bedroom
09 octobre 2011
Cinoche
Drive est sans nul doute le plus américain des films du Danois Nicolas Winding Refn, de très loin le meilleur cinéaste de son pays, C'est à lui que l'on doit la trilogie Pusher (1996-2005) et Bronson (2008), autres exemples d'un nouveau cinéma noir dont le réalisateur, couronné du Prix de la mise en scène au dernier Festival de Cannes, est aujourd'hui le plus brillant représentant. Le lieu où se déroule Drive, Los Angeles, principalement des zones industrielles, le choix de la musique, plutôt electro nous ramènent du côté des années 1980, de Michael Mann et de la série télévisée « Miami Vice », avec un talent à dépasser ces références sans tomber dans l'hommage. L'intrigue du film, minimale - un cascadeur accepte de participer à un casse pour aider la femme dont il est tombé amoureux, le casse tournant mal, les cadavres s'entassent -, tient du roman de chevalerie. Tandis que l'interprétation de Ryan Gosling (photo), un cure-dent dans la bouche, sobre et volontairement effacé, se rapproche du Clint Eastwood des films de Sergio Leone ou de Steve McQueen dans Bullitt. Il devient la vedette, fragile, discrète, et pourtant charismatique du meilleur film criminel de ces dernières années.
Drive, film américain de Nicolas Winding Refn. Avec Ryan Gosling, Carey Mulligan. 1 h 35.
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Sex parties in NYC
Oui cela existe!.... mais à NYC. Pas à Paris ou alors je ne connais pas.
Il y a un site : "www.blogger.com/www.adventuresingroupsex.blogspot.com/" (au moins un) qui indique toutes les sex parties qui se déroulent à NYC. Garages, boites lofts, apparts,.. bref tout pour s'envoyer en l'air à plein ...
Avis aux amateurs qui voyagent vers la big apple.
Il y a un site : "www.blogger.com/www.adventuresingroupsex.blogspot.com/" (au moins un) qui indique toutes les sex parties qui se déroulent à NYC. Garages, boites lofts, apparts,.. bref tout pour s'envoyer en l'air à plein ...
Avis aux amateurs qui voyagent vers la big apple.
sunday's movie
08 octobre 2011
les amants endormis
LES AMANTS ENDORMIS
Toute la nuit, il leur a poussé des ailes.
Maintenant ils dorment.
Et je vous jure bien qu'ils sont beaux.
Beaux de fragilité autant que de force,
D'étrange légèreté, alourdis qu'ils sont,
Dans cette nudité abandonnée à la tiédeur d'un sommeil d'amants,
D'amants apaisés,
D'amants épuisés de trop de chaleurs échangées,
De trop de caresses dans tous les sens, d'étreintes et de baisers,
De semence de l'autre récoltée par chacun en lui - même,
La main sur l'autre, posée là, comme pour protéger l'innocence
Du parfait sexe jumeau pareil au sien.
De tous les muscles de leurs jambes démêlées,
Ils ont largué les amarres loin du vulgaire
Toujours rapide au rire excrémentiel
Quand il lapide par l'ordure du mépris et de l'insulte.
mais ces deux là se sont aimés, s'aiment et s'aimeront.
Envers et contre tout et malgré tout.
Et moi, je vous le jure,
Ils sont beaux.
Parce qu'ils se désirent, parce qu'ils s'aiment,
Parce que du désir ils ont fait naître l'amour.
Comme de la graine naît la fleur.
Et cela est rare. Et cela est précieux.
Et pour cela,
Je vous le jure,
Ils sont beaux.
Maintenant ils dorment.
Et je vous jure bien qu'ils sont beaux.
D'étrange légèreté, alourdis qu'ils sont,
Dans cette nudité abandonnée à la tiédeur d'un sommeil d'amants,
D'amants apaisés,
D'amants épuisés de trop de chaleurs échangées,
De trop de caresses dans tous les sens, d'étreintes et de baisers,
De semence de l'autre récoltée par chacun en lui - même,
La main sur l'autre, posée là, comme pour protéger l'innocence
Du parfait sexe jumeau pareil au sien.
Ils ont largué les amarres loin du vulgaire
Toujours rapide au rire excrémentiel
Quand il lapide par l'ordure du mépris et de l'insulte.
mais ces deux là se sont aimés, s'aiment et s'aimeront.
Envers et contre tout et malgré tout.
Ils sont beaux.
Parce que du désir ils ont fait naître l'amour.
Comme de la graine naît la fleur.
Et cela est rare. Et cela est précieux.
Je vous le jure,
Ils sont beaux.
02 octobre 2011
que tous bandent!
« Que tous bandent, que tous s’embrasent,
Accourez, putains et ribauds ;
Que vois-je ! Où suis-je !
Oh ! Douce extase.
Les cieux n’ont point d’objets si beaux !
Des couilles en cercle arrondies,
Des cuisses fermes et polies,
Des bataillons de vits bandés,
Des culs ronds sans poil et sans crottes,
Des tétons, des cons et des mottes,
D’un torrent de foutre inondé !
Tout se prépare et se succède
Par ce plaisir qu’on nomme abus ;
Homme, oiseau, poisson, quadrupède,
Sans ce plaisir ne seraient plus.
Le foutre est la base du monde, le foutre est la source féconde
Qui rend l’univers éternel ;
Et le grand tout que l’on admire,
Ce bel univers à vrai dire,
N’est qu’un noble et vaste bordel. »
Alexis Piron (1689 à 1773)
Accourez, putains et ribauds ;
Que vois-je ! Où suis-je !
Oh ! Douce extase.
Les cieux n’ont point d’objets si beaux !
Des couilles en cercle arrondies,
Des cuisses fermes et polies,
Des bataillons de vits bandés,
Des culs ronds sans poil et sans crottes,
Des tétons, des cons et des mottes,
D’un torrent de foutre inondé !
Tout se prépare et se succède
Par ce plaisir qu’on nomme abus ;
Homme, oiseau, poisson, quadrupède,
Sans ce plaisir ne seraient plus.
Le foutre est la base du monde, le foutre est la source féconde
Qui rend l’univers éternel ;
Et le grand tout que l’on admire,
Ce bel univers à vrai dire,
N’est qu’un noble et vaste bordel. »
Alexis Piron (1689 à 1773)
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