27 décembre 2012

Préliminaires 271212

Nos corps sont nus mais, pas encore. Déjà pourtant tes lèvres déchirent les miennes, déjà pourtant ta langue laboure ma gorge, déjà pourtant tes yeux dévorent les miens.
Mes jambes enserrent les tiennes, rendant vains tes efforts pour me fuir. Efforts simulés, jeux amoureux, préliminaires. Tes mains enlacées aux miennes, tes bras étirés loin derrière ta tête, offrent à mes narines l'odeur âcre de tes aisselles et à ma langue gourmande, le suc salé de tes pores. Nos sexes excités, se jaugent, se narguent, se défient encore à l'abri de nos sous-vêtements colorés. Bientôt, une joute sans merci leur arrachera des larmes épaisses en giclées violentes et hurlantes; déjà, une goutte de sève transpire le coton.
Bientôt, bientôt nous nous rendront.




20 décembre 2012

Oups! **


Assis en face de moi sur la banquette du métro, tu n'arrêtais pas de me regarder. Même si au début je n'y avais pas vraiment prêté attention, absorbé par la lecture de mon journal, très vite, j'ai senti le poids de ton regard sur moi. Au premier échange, il ne pouvais y avoir de doute. Et si par naïveté j'en avais eu, ta main sur ton entrejambe était là, non seulement pour ton excitation mais bien entendu et surtout pour me démontrer ton intérêt à mon endroit!.
Arrivé à la station Nation, tu t'es levé rivant tes yeux malicieux au fond des miens - j'habite tout près, tu viens?-
J'avais des tonnes de choses à faire cet après midi là, mais sans vraiment réfléchir, n'écoutant que mes hormones, je me suis levé et t'ai emboîté le pas. 
Effectivement nous n'eûmes pas eu longtemps de vraiment réfléchir à ce que nous faisions. Ton appartement était effectivement tout proche de la place, au dernier étage d'un immeuble tout proche.
 À peine la porte refermée, nous nous sommes rués l'un sur l'autre, nous embrassant goulûment tout en enlevant frénétiquement nos fringues. En quelques secondes j'étais, nous étions nus et bandant comme des cerfs! Ta queue était longue et fine et ce qui de mon point de vue ne gâte rien, légèrement recourbée ce qui est souvent excellent pour atteindre les parties les plus érogènes de mon intimité.
 Hélas, le téléphone s'est mis à sonner avec insistance. Même si nous étions trop excités pour décrocher, les sonneries se succédant, te poussèrent à interrompre nos ébats et à répondre. Un peu déçu bien entendu, je me consolais en te regardant déambuler nu dans ton appartement, la verge érigée encore bien dressée, promesse de plaisirs! 
Soudain, la porte s'ouvrit et un garçon apparut dans l'embrasure. 
Il resta bouche bée en m'apercevant nu comme un ver et bandant ferme sur le canapé. Au vu de ton regard affolé, je compris très vite que cela devait être ton mec. 
Déjà, confus, cachant avec peine mon sexe d'une main et cherchant mon boxer de l'autre dans le tas de vêtements au pied du canapé, je bafouillais de vagues excuses redoutant la scène dramatique de " l'acte deux". Mais, rien ne vînt..... 



Alors que debout j'enfilai maladroitement et frénétiquement mon boxer il s'approcha de moi et avec sa main, me caressa l'entrecuisse. 
En quelques instant, je me retrouvai de nouveau sur le canapé, un caleçon à peine enfilé et lui, vorace, me dévorant les couilles.

 Tu venais juste de raccrocher et t'attendais sans doute à essuyer sa colère, quelle ne fut pas ta surprise découvrant la scène! Ton mec engloutissant ma verge érigée tout en se dévêtant! Tu as ri et bien entendu tu nous as rejoint. L'embrassant tout d'abord. Comme une reconnaissance de sa clémence, comme un remerciement pour sa compréhension. Le reste va de soi.....



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17 décembre 2012

C'est le moment



Pendant des mois, Nous nous sommes croisés dans ce vestiaire de salle de gym. Depuis des mois quelques minutes partagées durant lesquelles sauf quelques regards échanges, regards discrets, quelque peu gênés. Quelques minutes de rituel; mêmes gestes à chaque fois effectués. Vêtements enlevés les uns après les autres, un corps à découvert, une serviette nouée alors autour de la taille, une verge si souvent entraperçue. D'autres fois, en décalage un corps mouillé que l'on sèche, un sexe que l'on réajuste dans un boxer vite enfilé. Puis enfin. Quelques mots échangés, un pot pris ensemble au café du coin.
Et voilà que cette queue si souvent désirée se trouve dans ma main. Devant mes yeux, mes lèvres. Voilà que ce superbe braquemard m'est offert, alors je savoure ces quelques instant d'avant, ces quelques instants avant la délectation.











14 décembre 2012

Peep show




L'hiver, avec la nuit qui tombe tôt, le spectacle de la rue peut s'avérer étonnant, votre excitant. On ne pense pas nécessairement à fermer ses volets ou même de tirer les rideaux. Portant la vie continue avec ses joies et moments de plaisir. Simplement on peut oublier que se donne en spectacle!


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13 décembre 2012

Rencontre fortuite





Une rencontre. Une rencontre au hasard des rues d'une ville inconnue. Visite de boulot, quelques heures de libre, une chambre d'hôtel semblable à celle de la semaine passée, dans un autre pays, une autre ville. Après le boulot, on tente de se retrouver, de redevenir un peu soi même et d'aller à la rencontre de l'autre. Quelques fois, quelques fois seulement, C'est juste fulgurant. Alors oui, on voudrait que cette fulgurante forcément fugace s'immortalise, Ne serait-ce que numériquement. Pour se rappeler un jour, que l'on n'est pas qu'un costume trois pièces.



Quartier dangereux






Régulièrement des pubs murales provoquent des accidents de la circulation. Ce fut le cas avec les premières pubs pour les slips Calvin Klein et les photos géantes de mark walberg je crois. Mais il y eut aussi wonderbra. Voici une pub pour je ne sais quel produit vue à Londres. Le regard du gosse en dit long!


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12 décembre 2012

Monts et merveilles




Il des corps comme de toute chose. Certains sont ingrats par les formes, la pilosité, sans fermeté, . Avec une peau d'orange, granuleuse, sèche ou trop gras eau contraire. Et puis certains corps sont de pures objets d'extase. Pas parce qu'ils sont parfaits, non. Parce qu'ils ont un ce "je ne sais quoi" qui les rends émouvants ou adorables, touchants et désirables. Une peau translucide ou presque, d'une blancheur rayonnante, laiteuse. Alors ces corps là, avec ces peaux là, se doivent de rester glabres, se doivent d'être savamment entretenus, soignés afin de garder à leur texture la plus grande douceur, cette douceur électrique qui bouleversera la main de celui qui pourra parcourir leurs formes.


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point G **




Cela arrive rarement, en tous cas en ce qui me concerne. Il faut des doigts ou une verge experte et c'est hélas pas si fréquent que cela. Mais quand même oui cela m'est arrivé de jouir intensément juste avec un doigt sachant faire et titiller là où il faut. Et oui, cela m'est arrivé de "venir" sans même avoir à toucher mon sexe, juste par l'intensité de la caresse et du plaisir procuré...



11 décembre 2012

Boîte à chaussures




Quelques fois, on fouille dans une vieille armoire au fond de la cave ou du grenier et on retrouve une vieille boîte à chaussures. Un peu défoncée, un peu démodée, d'une marque qui sans doute n'existe plus. Une boite bourrée de vieilles photos aux couleurs déjà passées. Famille, amis oubliés, souvenirs tendres, souvenirs amers. C'était avant, bien sûr, avant le numerique.


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Chic le froid!





Voilà le froid. Les températures en dessous de zéro. C'est le moment de cocooner mais aussi d'enfiler tel James Dean, mes long John's favoris.


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05 décembre 2012

pour fans exclusivement

pour les fans de Lana del Rey exclusivement.... gays!
on s’éclate au cours de danse. Ne riez pas, danser sur des talons hauts n'est pas donné à tout le monde.

02 décembre 2012

recensement

Froideur des images. froideur des postures. Rien ici n'est fait pour attirer le regard, rien n'es fait pour offrir ne serait-ce qu'une once de volupté. Non, ici, il s'agit de mesurer, comparer, archiver. Des milliers d’américains ont du passer devant ce tableau millimétré, se tenir droit de face, de profil et de dos, dans le froid d'un hangar militaire, devant des dizaines de regards attentifs de médecins, d'infirmières, d'autres volontaires attendant anxieux eux aussi de passer de longues, d'interminables minutes sur cette estrade trop éclairée.
Pourtant, pourtant, il y a quand même quelque chose d’émouvant, de touchant dans ses images. Une certaine grâce se dégage de ses corps livrés froidement à l'analyse, à la mesure. C'est la grâce un peu gauche de l'innocence et du trouble, c'est la grâce finalement du corps offert.


01 décembre 2012

beauté du diable

Merci, merci à Mikel de nous faire partager sa vision de la beauté "diabolique". Celle qui  pourrait nous emporter au delà de nos envies,au delà de nos limites. Celles que l'on peut, ou l'on ne sait dépasser que si rarement; jamais parfois. Juste après un tel regard, juste pour les promesses offertes par le subtil dessin d'une bouche entrouverte, d'une toison en désordre, d'une peau diaphane.

27 novembre 2012

longjohns**



voilà l'hiver! avant l'heure, certes. mais avec le plaisir de revêtir enfin tous les caleçons longs. pour ma part j'adore me balader à la maison en caleçon long et j'adore aussi en porter sous un jean taille basse.

c'est so sexy!!!....

09 octobre 2012

le temps qui passe

Et finalement
Après quelques années
Les hommes ont remplacé tes poupées
Et les glaïeuls posés dans ta chambre
Remplacent aujourd'hui les fleurs des champs

Et c'est le temps qui court, court

Qui nous rend sérieux
La vie nous a rendus plus orgueilleux

Parce que le temps qui court, court

Change les plaisirs
Et que le manque d'amour nous fait vieillir

A l'heure qu'il est

Mes voitures de plastique
Sont devenues vraies depuis longtemps
Et finalement les affaires et l'argent
Ont remplacé mes jouets d'avant
Et c'est le temps qui court, court
Qui nous rend sérieux
La vie nous a rendus plus orgueilleux 


Parce que le temps qui court, court, oh court

Change les plaisirs
Et que le manque d'amour nous fait vieillir
Parce que le temps qui court, court, oh court
Change les plaisirs
Et que le manque d'amour nous fait vieillir
Et toujours le temps qui court, court
Change les plaisirs
Et que le manque d'amour nous fait vieillir

08 octobre 2012

émotion callipyge **

Choc ce matin! émoi incontrôlé! émotion hormonale!
voilà je pousse comme chaque matin la porte du vestiaire de mon gymnase, tout entier dans mes pensées; normal quoi! et puis; patatras! voilà que je tombe nez à nez (façon de parler) sur un cul tout en formes superbement, moulé dans un slip gris dont le tissu est délicieusement et profondément intégré entre les deux fesses.
 Cette merveille callipyge couronnait des jambes robustes et poilues et se prolongeait par un dos massif et costaud. un gars bien charpenté au physique de rugbyman se dévêtait tranquillement pour prendre sa douche après sa séance de sport. les hormones à l'envers, sans hésiter un seul instant, je me suis déshabillé nerveusement, précipitamment et, au lieu d'enfiler comme d'habitude ma tenue de sport, j'ai pris ma serviette  mon savon et hop j'ai filé à ses trousses dans les douches.
 Je suis certain qu'il n'était pas dupe à mon manège; je devais avoir l'ai pitoyable, une vraie chatte en chaleur.
Mais c’était devenu subitement incontrôlable. j’avais qu'une seule envie: fourrer mon visage tout entier entre ses fesses sans nul doute confortables, et ma langue au plus profond de son cul.
je l'ai suivi au sauna. Bien entendu, il ne faisait aucun cas de moi, il était a mille lieux de penser que j'en voulais à ses formes. il devait juste se dire qu'il avait à faire à un drôle de loustic qui le regardait bêtement en se tripotant l'entrejambe. Bien entendu il est sort au bout de quelques minutes. bien entendu sans un regard. il est allé se rhabiller tranquillement; il a enfilé sobrement son slip  et m'a offert une dernière fois cette sublime image de ses fesses moulées dans ce coton orange. pauvre de moi!...une bonne séance de cardio et tout cela passera..





28 septembre 2012

la passion Ginette!


Sur cette terr', ma seul' joie, mon seul bonheur
C'est mon homme.
J'ai donné tout c'que j'ai, mon amour et tout mon cœur
À mon homme
Et même la nuit,
Quand je rêve, c'est de lui,
De mon homme.
Ce n'est pas qu'il est beau, qu'il est riche ni costaud
Mais je l'aime, c'est idiot,
I'm'fout des coups
I'm'prend mes sous,
Je suis à bout
Mais malgré tout
Que voulez-vous

Je l'ai tell'ment dans la peau

Qu'j'en d'viens marteau,
Dès qu'il s'approch' c'est fini
Je suis à lui
Quand ses yeux sur moi se posent
Ça me rend tout' chose
Je l'ai tell'ment dans la peau
Qu'au moindre mot
I'm'f'rait faire n'importe quoi
J'tuerais, ma foi
J'sens qu'il me rendrait infâme
Mais je n'suis qu'un' femme
Et, j'l'ai tell'ment dans la peau ...

Pour le quitter c'est fou ce que m'ont offert

D'autres hommes.
Entre nous, voyez-vous ils ne valent pas très cher
Tous les hommes
La femm' à vrai dir'
N'est faite que pour souffrir
Par les hommes.
Dans les bals, j'ai couru, afin d'l'oublier j'ai bu
Rien à faire, j'ai pas pu
Quand i'm'dit : "Viens"
J'suis comme un chien
Y a pas moyen
C'est comme un lien
Qui me retient.

Je l'ai tell'ment dans la peau

Qu'j'en suis dingo.
Que cell' qui n'a pas aussi
Connu ceci
Ose venir la première
Me j'ter la pierre.
En avoir un dans la peau
C'est l'pir' des maux
Mais c'est connaître l'amour
Sous son vrai jour
Et j'dis qu'il faut qu'on pardonne
Quand un' femme se donne
À l'homm' qu'elle a dans la peau


26 septembre 2012

exhib publiques & ferroviaires (3)

Et une autre dans une salle d’attente d’une gare non identifiée!


 

Exhib publiques et ferroviaires (2)


Décidément ce phantasme du sexe en public et tout particulièrement dans les transports occupe une place toute particulière.
Voici de nouvelles expériences dans le métro berlinois.
.



27 août 2012

Viens!

J'aime bien quand tu t'avances vers moi d'un pas décidé. Juste après t'être desapé. Tu as alors le regard qui faut, le déhanchement qui faut. Tout ce qui fait que tu m'excite toujours autant. Juste ce qu'il faut pour me remettre encore et toujours les hormones à l'envers!
Come on!....
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26 août 2012

Grand départ

Ben voilà, on n'y croyait plus, on voulait oublier. mais voilà, on est dans le train, on roule vers Paris, c'est donc fini.
Carpe idem quand même...


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après l'amour

Ta cigarette après l'amour
Je la regarde à contre-jour
Mon amour.
C'est chaque fois la même chose
Déjà tu penses à autre chose
Autre chose.
Ta cigarette après l'amour
Je la regarde à contre-jour
Mon amour.

Il va mourir avec l'aurore
Cet amour-là qui s'évapore
En fumée bleue qui s'insinue.
La nuit retire ses mariés
Je n'ai plus rien à déclarer
Dans le jour j'entre les mains nues.

Ta cigarette après l'amour
Je la regarde à contre-jour
Mon amour.
Déjà tu reprends ton visage
Tes habitudes et ton âge
Et ton âge.
Ta cigarette après l'amour
Je la regarde à contre-jour
Mon amour.

Je ne pourrai jamais me faire
A ce mouvement de la terre
Qui nous ramène toujours au port.
Aussi loin que l'on s'abandonne
Ni l'un ni l'autre ne se donne
On se reprend avec l'aurore.

Ta cigarette après l'amour
S'est consumée à contre-amour
Mon amour.

24 août 2012

Canicule **



La canicule bat son plein. Tout est écrasé de chaleur. Une chaleur blanche, éblouissante, étouffante. Heureusement que la piscine nous offre malgré ses 30° un peu de fraîcheur. Les insectes, les oiseaux se taisent assommés. Le chat se cache derrière les fourrés les plus touffus pour trouver un tant soit peu d'ombre. finalement, comme toujours le meilleur endroit où se poser reste encore et toujours la chambre. orientée au nord, les volets soigneusement clos tout au long de la journée, elle reste un havre de calme, de paix, de fraicheur.


C'est dans ce havre silencieux que je me réfugie quand l'agitation autour de la piscine est trop grande.

Là, dans des draps défaits mais encore frais, Je rêvasse tranquillement. Le vacarme des rires, de l'eau, me parvient assourdi. La lumière tamisée par les volets fermés donne à cette chambre et au désordre ambiant, une atmosphère mystérieuse qui me ravit.

Dans mon demi sommeil, j'entends la porte grincer en s'ouvrant doucement. Je sais, vois-tu que c'est toi. Déjà ta main caresse mon dos. Tel le chat, je ronronne du plaisir de t'avoir près de moi, de la surprise que tu me fais à quitter nos amis et leurs jeux.

Voici maintenant que tes lèvres caressent mon cou tandis que ta main effleure le tissu de mon slip excitant de délicates pressions mes parties intimes. Je me laisse aller à la douceur des choses. Je suis à toi et tes preuves d'amour de plus en plus précises, de plus en plus excitantes..
Tu te désapes tout en me couvrant de caresses, de baisers. Bientôt je retrouverai devant moi le corps si connu, si caressé et toujours désiré, chéri. Bientôt, nu, ta verge dressée,

tu me lècheras le ventre tandis que tes mains soulèveront le tissu de mon slip, libérant ainsi mon sexe qui se dressera vers toi, s'offrant à tes lèvres et à ta gorge.
Alors, le rite s'accomplira.




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23 août 2012

Sensualité estivale (7)







Les vacances se terminent, déjà le soleil se couche bien tôt. Dès 6 heures, la piscine est à moitié à l'ombre. Fini les températures caniculaires, mais il fait toujours bon se doucher à l'extérieur!
C'est toujours et encore pour quelques jours, un de mes petits bonheurs!


12 août 2012

Exhib et transport en commun




Même si j'ai un goût prononcé pour une certaine forme d'exhibitionnisme, quelques billets de ce blog permettent d'en cerner les contours, je n'ai jamais poussé ce "vice" jusqu'à me lancer dans des séances de branlette dans les transports en commun. On a déjà vu ici un petit film d'un garçon jouissant dans un avion, voici maintenant un gars qui se lancent dans une séance de masturbation sur le quai du métro de Londres et un autre dans une rame du métro de Berlin, mais là c'est une mise en scène de film de cul. Une curiosité donc.



11 août 2012

Sensualité estivale (5)





Et puis il y a la sieste. Pendant les heures les plus chaudes de la journée, quand même les oiseaux, les cigales se taisent assommées de chaleur. On se réfugie alors dans la fraîcheur et le silence d'une chambre. Seuls quelques rayons de lumière réussissent à passer par les interstices des volets. Les draps sont restés frais et accueillant, 
la maisonnée s'assoupit doucement, même si dans le secret des alcôves ces siestes peuvent devenir sensuelles.
Nous différons toi et moi sur ce sujet. Toi tu aimes à faire la sieste nu, moi je préfère rester en caleçon ou en slip. Je ne veux pas que cela ressemble à la nuit. Et cela fait partie de nos petits plaisirs, de nos habitudes déjà, de nos rites peut être. J'aime à te voir te dévêtir pour me rejoindre sous les draps frais. J'aime ton corps doré par le soleil, se faire paysage d'ombres et de lumière sous les traits lumineux s'échappant des volets clos.
J'aime aussi, quitter le lit alors que tu somnole encore. Admirer ce corps que je connais si bien, se révéler dans le désordre des draps.
Bien sur quelques fois, ces siestes n'en sont pas. Quelques fois, nos corps se cherchent et se mêlent. Mais ça c'est une autre histoire.
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10 août 2012

Sensualité estivale (4)




C'est vrai qu'envoyer valser ses fringues, se défroquer et courir, sauter, se baigner, bref se balader nu comme un ver, c'est aussi un des grands plaisirs de l'été. Surtout et avant tout avec des amis, des potes avec qui on partage tout ou presque.


Des amis avec qui ces jeux sensuels gardent une relative innocence ou, selon les cas une innocence toute relative. C'est comme un retour à l'enfance ou à l'adolescence.


Les rires se mêlent, les corps s'entrechoquent dans l'eau ou dans la prairie. Quelques fois, le trouble, quelques fois, les rires se font différents, quelques fois la chair de poule.


C'est l'été, c'est l'insouciance. C'est bien.



Eroticogames, London 2012




La toile regorge d'articles sur le sujet.
Entre les plans volontairement érotiques voire  provocants des retransmissions de beachvolley féminins aux bandeaux judicieusement placés sur les maillots des nageurs ou plongeurs masculins. On voit même des photos des nageurs ou des plongeurs dans une sorte de local semblable à ceux que l'on peut voir dans les différentes séries de téléréalité comme  loftstory ou secretstory.






En voici un florilège

09 août 2012

Sensualité estivale (3)




Le soir, quand le soleil couchant embrase la nature environnante de ses derniers feux, quand après une si chaude journée la lumière se fait apaisement, on voudrait remercier Dieu pour ces intenses moments avec ses amis à rire, jouer, se baigner, s'aimer.


Alors, tandis que le calme revient, on regarde au loin, on frissonne, un peu. On comprend que l'on fait partie de tout cela, que tout cela, soleil, roseaux qui remuent sous la brise,


clapotis des poissons dans l'eau fraîche de la rivière et chaque atome de son corps sont en cet instant en équilibre, en harmonie. Alors, on communie et on offre à la rivière le sacrifice de sa semence.



Sensualité estivale (2)

Les sous-vêtements:

L'été, les sous-vêtements sont le prétexte à exacerber la sensualité, à se laisser aller à ses penchants exhibitionnistes ou voyeur.
Quel plaisir chaque jour renouvelé de voir son ami, de passage ou pas, se lever et enfiler encore tout ensommeillé, encore bien raide, le slip ou le boxer jeté dans un coin de la chambre.

Quel plaisir encore de le regarder fumer sa première cigarette sur le balcon de la chambre, dans l'air frais du matin, devant la mer et le ciel qui se confondent.


Et quelle exquise sensualité, de se dévêtir sur une plage, courir vers la mer dans son kangourou blanc, nager, plonger, et le rattraper à chaque vague sachant que l'espace d'un instant, on a pu entrevoir, la marque du bronzage, les prémisses d'un bas-ventre. Puis, sas se presser, revenir vers la rive, conscient de la transparence du coton trempé, collant à nos formes, un sexe délicatement dessiné par les plis du tissu, le creux des fesses souligné par le coton collé.

L'été, enfin, est propice aux siestes suant les heures chaudes. J'aime alors m'étendre sous un simple drap, dans la fraîcheur de la chambre aux volets fermés. Sachant que tu viendras sans nul doute, me réveiller doucement en flattant mon sexe par dessus le tissu. Alors je banderais et d'un geste tendre et expert, tu prendras soin de le libérer de son écrin de coton.