14 décembre 2015

LA CHAMBREE **

Fournaise estivale, un camp militaire pas très loin d’Avignon. Une école du Génie Militaire destinée aux engagés. Quelques appelés mourant d’ennui, juste là pour assurer l’intendance de l’école. Secrétariat, cuisines, logistique,… J’ai passé là une année de ma vie. Comme beaucoup de français, j’ai donné une année pour le service militaire. L’ennui dans la fournaise et le froid de cette région isolée de tout. Je le dis tout de suite, je ne regrette pas, malgré l’ennui, le caractère obligatoire, j’estime toujours que cela a été une expérience enrichissante et je regrette que le service national ait été supprimé. C’était en effet la seule occasion donnée à beaucoup d’être confronté aux autres, aux différences : les riches avec les pauvres, les diplômés avec les illettrés. La campagne avec la ville. Seule période de la vie où finalement le brassage social et culturel est possible. Entre mecs, héteros et pd ensemble aussi, dans une liberté que l’on a peine à croire. Les longues journées passées ensemble de jour comme de nuit amènent forcément une intimité forte entre les conscrits, une intimité partagée et complice. On parle de soi, de ses aventures, de ses craintes, de ses joies. On se donne du courage pour aller aux putes ou pour draguer une conquête. On se compare la queue, on fait des concours de branlette. Dans les moments de profond ennui, les longues soirées d’été où l’on a dîné à 17h et où l’on a rien d’autre à faire qu’attendre la tombée de la nuit et la fraîcheur du soir en buvant bière sur bière et en fumant clope sur clope. Alors il arrive que le geste se fasse plus équivoque, que le regard se charge de désir ; j’ai connu des douches brûlantes où, sous prétexte de bien se laver, on se savonne le corps mutuellement en s’attardant sur les fesses, en s’arrêtant juste au dessus du pubis en évitant de remarquer une queue qui se tend.
J’ai passé une soirée entière avec un légionnaire, superbe et sauvage qui en slip, tout en buvant bière sur bière, insistait lourdement pour que lui « touche ses tatouages », je l’ai longuement caressé, dessin après dessin, sur le dos, sur le torse, sur les bras ; avec mon doigt tout d’abord, puis n’y tenant plus avec mes lèvres à la fin. Tous connaissaient ma sexualité, aucun n’était gay, tous étaient simplement des mecs avec du désir, un besoin de tendresse Je ne parle pas de sexe ; rien ne manque dans une caserne ni la drogue ni le sexe ; comme partout les PD ne manquent pas, et il n’est pas difficile de se faire des amis et plus si affinités. Je ne parle pas de sexe donc mais de chaleur humaine, de connivences, de désirs secrets, de tendresse virile. Cette photo me ramène à la mémoire, ces merveilleuses soirées entre potes de chambrée, où l’on joue aux cartes en fumant et buvant, torses nus, en caleçons ou en slip. Pas de gène entre nous, on se gratte les couilles avant d’abattre son jeu, on pisse dans le lavabo en riant, on se met au lit en s’envoyant le caleçon au visage. Les nuits de grande chaleur, on reste sur les draps en slip ou à poil. On sait les uns et les autres que personne n’est vraiment indifférent à la scène, les sexes légèrement, très légèrement tendus en sont la preuve. On remue d’ailleurs un peu trop, on porte juste un peu trop sa main sur sa queue pour vaincre une hypothétique démangeaison, comme si ça nous grattait. Les poses sont quelque peu lascives. Combien de soirées où il m’a fallu prendre une douche glacée en pleine nuit pour m’endormir, me branler en silence. Combien de fois j’ai été tenté de chiper un calbut, comme celui négligemment posé sur le radiateur afin d’y fourrer mon nez, pour retrouver dans ces effluves ce concentré de mec.





Sur la vidéo, ce sont des militaires américains qui déconnent pour tuer l'ennui... vision très lointaine de mes propres souvenirs, mais on déconnait aussi avec souvent une forte charge sexuelle...

13 décembre 2015

etat d'urgence




voilà une blague idiote qui ne devrait pas faire rire nos vigiles fouilleurs de sacs!.....


08 décembre 2015

metro parisien backroom




Quand je suis tombé sur cette vidéo,  j'ai eu du mal à en croire mes yeux.  Sans aucun doute, elle a été tourné dans une rame du métro parisien.  Cela a l'air suffisamment vrai;  le bouger, la manière de regarder et d'agir des " protagonistes". Mais c'est tellement incroyable que l'on puisse faire cela dans une rame parisienne!  Quelque soit l'heure,  il y a du monde et pas forcément des passagers réceptifs. ... or ici il y a les deux protagonistes principaux et d'autres passagers qui filment la scène avec leur smartphone et qui semblent s'approcher, reluquer et se branler de concert. 

Si c'est du vécu,  j'aurais jamais imaginé cela possible. 


04 décembre 2015

Carnaval. ...

De l'art de fêter carnaval et de défiler sans.... trop se faire remarquer? !
J'adore?

03 décembre 2015

lieux insolites

Je ne sais pas si cet endroit, ce "bouge", ce "bordel", existe vraiment ou si c'est simplement un fantasme de metteur en scène de porno gay.
 en tous cas c'est dément!... imaginer un endroit comme celui là où l'on peut assouvir ses délires c'est bandant au possible quelque soit le rôle que l'on veuille se donner. 


Se mettre dans le cagibis a glory-holes et attendre que d'aucun vienne glisser sa queue et la pomper avec appétit puis attendre le prochain...
ou se glisser dans ces petites cabines genre sling anonyme et attendre recevoir de multiples coups de butoir d'inconnus plus ou moins bien membrés, plus ou moins "EP" (éjaculateurs précoces) ou encore rester dans ces cabines en hauteur, à hauteur de visage pour régaler tous les amateurs de feuilles de rose, se faire bouffer la rondelle pendant des heures....
Enfin, les autres aussi, ceux qui viennent faire leurs courses et attendent patiemment qu'un cul se libère pour s'en donner à cœur joie!...
drôle d'endroit......




01 décembre 2015

après le sport.... **

Ah! Les après matchs de nos adolescences! On se marrait bien et ce dès les vestiaires sans parler du 5ème repas souvent prétexte à beuveries, blagues salaces et plus si affinités! ...  combien de ces soirées se sont terminées par des paris stupides et bien souvent en dessous de la ceinture.  Je sais qu'en Grande Bretagne cela reste encore ancré dans les mœurs d'après match de rugby;  les descentes d'équipes et de supporters dans les pubs sont fameuses.  Mais chez nous je ne sais pas. 

Même si ces  "noubas" étaient sous le signe de l'alcool et que les jeux et blagues pouvaient être qualifiées de "sexuelles", et bien souvent homosexuelles.  Jamais en tous cas dans ma propre expérience,  cela n'a porté préjudice à l'un ou à l'autre.  Et pour la plupart, les mecs étaient et sont restés hétérosexuels.
Les douches et les vestiaires étaient souvent prétexte à bagarres de serviettes,  blagues éternelles sur les longueurs de bites sans parler des attouchements  blagueurs mais explicites et ciblés. Et il arrivait fréquemment que l'un ou l'autre bande légèrement ou carrément,  cela provoquait les rires et les quolibets mais rien de plus. 
Sport oblige,  virilité préservée!




ah les russes et leurs paris stupides






Paris stupides mais qui m'amusent bien! Paris stupides mais dans le contexte russe actuel, surement très dangereux. Pour ma part, je ne m'y risquerai pas!!


19 novembre 2015

RencontreS **



Un corps étranger, inconnu. Une âme aussi. Une âme qui se dessine doucement au gré des moments, d’un regard, d’un geste de la main.
Il est assis là, tout près de moi, tout contre moi pourrais-je dire, tant la promiscuité de ce bar est grande. Je pourrais sentir sa peau, si ce n'était cette acre odeur de fumée. Son genou est si près du mien! D’abord, il y a quelque chose. Un rien, un appel du corps. Un regard croisé, une étincelle d’inquiétude, une interrogation, un appel, une parcelle d’humanité. Il y a aussi, une peau, une texture, une veine sur le dos d’une main. Une façon de bouger les doigts, de l’élégance, de la sensualité. Une bouche aussi, qui bouge, qui sourit en harmonie avec les yeux, avec le geste. Coquine, amusée. Il y a de la tendresse dans ce moment. Et puis cette main, bouge et s'accorde avec ces yeux qui me regardent, ces yeux qui m'interrogent et qui me cherchent avec tes mots qui me sourient. D'un coup, les autres, le bruit de la nuit parisienne, s'estompent. Juste ce halo de lumière au dessus du comptoir, juste pour nous. L'autre est devenu toi, ce toi qui me charmes, cette main qui parle si bien avec tes yeux. Ce poignet, ce petit lacet multicolore, qui m'ensorcelle, je voudrais déjà poser ma bouche dessus Enfin, plus tard dans la nuit, la communion. Tes yeux soudain si proches, rivés sur les miens, tes paupières qui se ferment doucement. Le plaisir. Tes mains qui maintenant s’entremêlent aux miennes, qui parcourent mon corps, caressent, malaxent, frappent. Et Ton sexe, ton sexe celui que l’on ne peut découvrir qu’après, après avoir été touché par un regard, charmé par une main, attiré par une bouche. Ton sexe, tes mains, tes yeux, soudain, seront en harmonie, l'espace d'un instant, arrêt sur image: la bouche entrouverte et le cri suspendu, une étincelle de folie dans le regard, fugace, trop; une goutte de sueur perlant au milieu de ta poitrine, tes mains agrippées toutes veines dehors, agrippées pour mieux me retenir, ton sexe au plus profond de moi; une communion. Voilà l’autre.

17 octobre 2015

Transparence

Cela faisait un moment que l'on se croisait à la salle de gym. Je devrais dire plutôt que cela faisait un moment que je l'avais repéré... lui, lui, pas un regard, rien. D'ailleurs c'est une des raisons qui faisaient que ce mec m'attirait, que je ne pouvais m'empêcher de mater en coin, le plus discrètement possible.  Un mec qui pourrait raser les murs, que l'on pourrait ne pas remarquer, malgré sa charpente bien proportionnée et surtout son nez aquilin. Sinon,  une peau très blanche, à première vue pas forcément douce, peut être même un peu rêche.  Une coupe de cheveux "premier de la classe à Carpentras" et le pire reste à venir,  des chaussettes noires dans ses baskets avec un short infâme noir et un tee-shirt blanc.  
Bref,  pas beaucoup de concurrence. ...
Mais moi son air "je ne vois personne", "je regarde impassible et rien ne bouge sur mon visage", allaient si bien avec son profil grec!
Et puis ce jour là il fallut partager une machine, puis une autre puisque nous avions prévu tout deux à peu près le même circuit d'entraînement.  
Cela nous permis de mener une conversation et finalement de faire connaissance. Oh pas de secrets partagés ni d'intimité dévoilée,  bon juste, la situation politique,  l'actualité,  le cinéma,  le jazz qu'il disait apprécier comme moi. Finalement,  à la fin de notre séance, je lui proposai,  s'il n'avait rien de mieux à faire,  de déjeuner dans un restaurant du coin. Il accepta en précisant qu'il n'était pas vraiment en fonds et qu'il évitait du coup les restaurants et il me proposa une grosse salade home made;  il habitait tout près du gymnase.


Dans le vestiaire une autre surprise m'attendait. Alors que l'on se déshabillaient et  après avoir rapidement essuyé son dos avec sa serviette, je le vis enfiler un vague caleçon ( je déteste les caleçons!..)puis son pantalon!  
- tu ne prends pas de douche après l'entraînement? -
- si mais chez moi,  je préfère,  si tu veux,  fais de même,  pendant que je préparerais la salade
Arrivés chez lui, un petit appartement en rez de chaussée et fenêtre sur cour,   sombre mais meublé avec goût,  son sac de sport à peine posé,  il a commencé à se dévêtir en disant
- je prends ma douche en premier et je préparerai le repas pendant que tu prendras la tienne, après si tu veux un massage,  n'hésite pas,  c'est mon boulot et mon cabinet est juste là! -
Je le regardais aller nu vers la salle de bain; j'aimais son allure,  voir ses fesses charnues  se mouvoir.  Où avais-je mis les pieds?  Mon "gaydar" ne s'était pas déclenché et je ne savais pas comment agir. Je décidai de me laisser simplement porter par les événements, il était sympa,  sans doute intéressant,  peut être un nouvel ami.  Let see.
Je pris sa place sous la douche.  Après m'être essuyé tout en donnant un coup d’œil sur son armoire de toilette ce qui ne me donna aucune indication,  ceint d'une serviette autour de la taille, je rejoignis la pièce principale où je m'étais dévêtu.  Il m'attendait. Torse nu, Il avait revêtu un short noir. 
-
- le repas est prêt,  la table mise,  si tu veux un bon massage,  c'est le moment.  ok, dis-je surpris.  Je le rejoignis dans la petite boutique attenante qui faisait office de salon.  Un lit de massage, une petite chaîne diffusant de la musique douce,  des huiles et crèmes de toutes sortes. Je m'étendis sur le ventre et me laissai aller à la douceur des choses.  Ses mains  huilées s'affairaient sur mon dos, mes bras, Insistèrent sûr mes épaules et mon cou puis s'affairèrent  sur mes cuisses,  et mes fesses.  J'avoue avec retenue mais fermement et cela me tourneboulait déjà.
 Puis ce fut le moment de me retourner et... cela me mis un peu mal à l'aise car je bandais un peu et cela se voyait.  Je choisis de dire quelque chose car je ne voulais pas gâcher ce moment de complicité et de confiance. 


 - désolé mais,  cela me relaxe tellement bien que je crois que je bande un peu.....-
- pas de soucis,  cela arrive!  -
Je sentais ses mains passer sur mon entrecuisse et effleurer mes couilles et  souvent mon sexe ce qui le durcissait de plus en plus!  le sexe  bandé, je ne savais plus quoi dire à part "encore plus désolé"!  Puis,  les hormones complètement blackboulées, je me jetai à l'eau et dit tout tremblant 
- mais si tu veux masser là aussi,  feel free! - 
Ce qu'il fit; ses mains huilées allaient et venaient avec une douceur infinie sur mon sexe, mon aine, caressaient mes couilles et se glissaient entre mes fesses. je lui demandai alors s'il savait pratiquer le massage prostatique, ce qui le fit sourire. il m'écarta doucement les cuisses et me demanda de
me relaxer et  de fermer les yeux. Tandis que d'une main il me caressait voluptueusement les testicules et le sexe, il introduisit un doigt dans mon anus et commença à flatter ma prostate. Bientôt, des vagues immenses de plaisir m'envahirent; je n'étais plus moi, je ne m’appartenais plus, je n'existais plus, j'étais mon plaisir, j'étais orgasme(s). 
Ils se succédaient de manière de plus en plus rapprochées, sans éjaculation, juste des explosions, des implosions intérieures devrais-je dire , qui se suivirent jusqu'au feu d'artifice final couronné par un magnifique jet de sperme et un cri de libération!
tout cela nous avait donné faim, nous nous jetâmes sur la salade sans même nous rhabiller; il aurait sa revanche dès que j'aurais repris des forces!










15 octobre 2015

UNDERWEAR PARTY



Dès l’entrée, on vous tend un sac poubelle où il faut déposer ses affaires personnelles ; pas de vestiaire, on se déshabille sous le regard des autres qui n’ont rien d’autre à faire qu’à regarder les nouveaux venus se dévêtir, en sirotant tranquillement un verre. Le sac rempli, ses initiales inscrites au feutre dessus, on fait partie du clan, avec le slip que l’on a consciencieusement choisi; assez sexy pour convenir à la circonstance, pas trop quand même pour ne pas faire " salope". Mais surtout un slip mettant bien en valeur ses attributs.
De fait, ainsi déshabillé on doit avoir l’air con, rien qui permette de se donner une contenance face à tous ces regards rivés sur soi. Alors on va au bar avec un air négligé voire blasé, on commande une bière au moins pour ne pas avoir les bras ballants et enfin pouvoir faire partie du clan de ceux qui regardent, attendent les prochains et finalement s’emmerdent à dix sous de l’heure. Alors il ne reste plus qu’a rejoindre le sous-sol, et ceux qui « cruisent », inlassablement, avant de s’envoyer en l’air. On se sent vite décomplexés en croisant tous ces mecs en string ficelle, slips transparents, Calvin Klein et autres jockstraps.
Evidemment l’excitation vient assez vite, voir ces sexes plus ou moins comprimés, distinguer dans les coins sombres, des mains en explorations dans des slips kangourous…. Le jock strap choisi avant de venir, se tend de partout. 
Je me glisse dans un coin où un grand chauve en Calvin Klein blanc attend. Nos regards se croisent et assez vite, nous nous trouvons l’un et l’autre à caresser le slip de l’autre. Nos slips ne contenant plus qu’avec peine nos queues dures et comprimées, nous nous sommes résolus à les libérer. Nos sexes bien tendus provoquant immédiatement l’attroupement habituel. J’adore baiser en public, les regards des autres, les mains qui essaient de participer au festin, tout cela m’excite énormément.
Ce mec a les fesses bien fermes, une queue bien droite, veineuse, rasée, un gland décalotté qui mouille un peu. Je m’amuse à lui caresser le crâne rasé de frais tout en frottant mes lèvres sur son bas-ventre tout lisse. ça pique un peu quand même! Ça excite surtout!


Baiser en public le gêne visiblement ; déconcentré, sa bite commence à légèrement débander, je lui propose alors d’aller chez moi.
Ces moments d’intermède sont souvent délicats, la tenson retombe très vite, il faut se rhabiller, payer son verre, sortir et aller à la recherche d’un taxi.
 Pendant cette attente qui peut être longue, il faut tout faire pour maintenir la tension sexuelle vive. Dehors, devant la boîte, pendant qu’il guette un taxi libre, je m’amuse à lui mordiller le cou, à glisser ma main dans son jean et faire mine de lui sortir la queue hors de son jean, je sens qu’il bande un peu, je l’embrasse à la volée, l’excite. Enfin, un taxi s’arrête auprès de nous, nous nous engouffrons sur la banquette arrière, et nous caressons la braguette tout au long du trajet.
La porte de mon appartement à peine refermée, il se rue sur moi et nous enlevons nos fringues mutuellement, là au milieu du couloir. Une chaussure ici, un pantalon par là, un slip sur la commode, le chemin qui mène à mon lit est semé de vêtements hâtivement jetés.



Le lit nous attend, j’engouffre sa superbe queue jusqu’au fond de ma gorge, il fait de même. Son gland tape au fond de ma gorge, je lui caresse la fesse, parcours sa raie légèrement poilue avec mes doigts ; tandis que sa queue continue de remplir ma bouche et ma gorge, mes doigts écartent ses fesses.


Je lâche alors sa bite pour laisser ma langue explorer sa rondelle et commencer à forcer l’entrée de son corps. Il fait de même, j’écarte un peu mes fesses pour permettre à ses doigts de se frayer un passage. Un puis deux ; je râle, j’écarte un peu plus les cuisses pour bien lui montrer que je n’attends plus que lui. Il se tourne, se dresse devant, passe mes jambes par-dessus ses épaules et entreprend de me pénétrer. Ses yeux sont rivés aux miens, ils brillent de désir. Je n’oppose aucune résistance et sa queue m’empale directement et profondément. Il s’active tandis que je me branle. La sueur envahit nos corps, au dessus de moi, son torse brille de fines gouttelettes, je le caresse, l'essuie, m'en lèche les doigts. Le sentant venir, je lui demande de jouir sur mon ventre ; alors, un peu à contre cœur, comme dans les films pornos, il s’extraie de mon cul; je lui prend la bite et la branle avec la mienne des deux mains. Il me travaille les seins de plus en plus fortement au fur et à mesure qu’il se retient de jouir ; alors, soudain, un râle longtemps retenu monte de sa gorge, ses doigts serrent brusquement à me faire hurler de douleur et de plaisir les tétons, nous giclons pratiquement en même temps sur mon ventre. Il aura bien mérité de finir la nuit avec moi.




04 septembre 2015

fin de saison

 hmmm! premier séjour en Corse, en haute Corse. Des paysages fabuleux, des routes extravagantes, des villages perchés et sublimes, des plages protégées et si peu  fréquentées... que du bonheur!



   

24 août 2015

photographie 21/6/09


OhmPhanphiroj


photographe d'origine Thailandaise

Les secrets de la nuit révélateurs d’une ambiance en flous et double expositions, en da
nses de séduction et regards qui se croisent, l’équivoque des prostitués qui pourraient n’être que des passants, les cabines d’un salon porno comme lieux de rencontre pour briser l’anonymat et la solitude, une étude photographique de l’homosexualité lorsqu’elle est réprimée par la société, mais aussi du changement qui s’opère entre le jour et la nuit, lorsque l’ombre permet de se révéler de façon intime et non verbale.

son site

16 août 2015

Grand classique estival (3) **

S'habiller le moins possible!  

Un short, un t-shirt ou mieux encore, un Marcel.  Et surtout, surtout,  rien sous le short,  rien,  niente, nada!. 
Freeballing comme disent nos amis anglos-axons.  Rien de mieux en effet que de sentir ses roubignoles se balader enfin librement.  Que diable,  l'été s'est bien pour tout le monde!

Bon, effectivement, il y a des risques. ... faut quand même prendre des précautions quand on se baisse ou quand on s'assoit. ... et surtout,  surtout pas de tentations. La liberté s'est bien mais gare
 à trop de sincérité!

07 août 2015

Petits instants coquins de l'été

Mais oui,  même au fin fond de la campagne, il suffit d'une bonne liaison internet et se faire un plan cul sur cam4 !

Petits instants de bonheur partagé

06 août 2015

grand classique (2)




et oui autre grand classique de mes plaisirs estivaux, le soir après les baignades, après les bains de soleils et les longues lectures sous le parasol, une bonne douche bien fraîche dans le jardin.
Ah, enlever le maillot, laisser couler l'eau froide sur le corps bien chaud de cette journée ensoleillée.
Juste nu au soleil, caressé par le vent frais du soir; c'est le bonheur!


grand classique




Bah oui! c'est un grand classique estival... Farniente, juste se la couler douce; sentir le temps qui passe, les minutes qui s’égrainent tout doucement, le plus doucement possible afin de les apprécier à leur juste valeur, leur juste rareté. Curieux comme, le temps peut sembler long dans beaucoup d'occasions de la vie quotidienne et les journée semblent au contraire passer si vite en vacances quand justement on ne fait que se prélasser!

03 août 2015

l'invitation au voyage





L'été est propice aux balades en forêt, en explorations de bosquets, de dunes et autres endroits frais et isolés. Et, au hasard de nos pérégrinations, on peut croiser de drôles de personnages aux atours persuasifs, tentants. Comme une invitation au voyage, voyage au septième ciel bien entendu!....

29 juillet 2015

plages bondées

C'est l'été, un été jusqu'ici caniculaire. Rien de mieux que de vautrer sur les plages et tenter de se rafraichir dans des eaux qui atteignent en certains endroits 29°!! Pour ma part, je n'y vais que lorsque le soleil commence à descendre; il fait moins chaud et le sable devient à peu près supportable. Mais les plages, même à cette heure tardive restent bondées. Même les coins naturistes et/ou gays. 
c'est vrai que j'adore me promener nu l'été et j'aime bien ces endroits où sans façon tout le monde est nu sans que cela pose de problème à quiconque; par les temps qui courent de puritanisme exacerbé, cela rassure et repose!
Mais lorsque les serviettes sont les unes contre les autres ou presque, lorsque l'on doit se faire une place entre des dizaines de serviettes abritant des corps de garçons se prélassant tranquillement, c'est pas très facile de se concentrer sur le livre que l'on a cru bon d'apporter aussi passionnant soit-il!


25 mai 2015

M'exploser!!





rien, aucune bonne nouvelle à l'horizon, aucune nouvelle qui me permette de croire que ce week-end n'aura pas été finalement raté. Je pars dans quelques minutes en déplacement pour le boulot. Le long tunnel de la semaine, ses gros nuages noirs déjà amoncelés, est déjà devant moi. Ce soir, un hôtel sans âme dans un centre ville vidé de sa population. glauque. j'en envie, envie de me faire exploser de plaisir. comme sur ce petit clip, avoir le même regard que ce mec, sans doute les même soupirs!








23 mars 2015

Plaisir solitaire 23036


La nuit est chaude, étouffante. Il a laissé sa fenêtre ouverte mais malgré tout, il ne peut pas dormir. Les draps sont humides de sa sueur, des gouttes perlent sur son front. Nu dans les draps, à moitié découvert, il tourne et se retourne et s’agite sans cesse sans trouver le sommeil.

ses mains parcourent sans cesse son corps, comme pour essuyer la sueur, comme une caresse. Un léger courant d’air frais agite les rideaux et l’effleure, parcourant son torse, son ventre et son sexe ; un léger frémissement parcoure sa toison. Sa main du coup s’attarde sur sa queue et la caresse ; cela le calme quelque peu. Ses jambes s’écartent doucement, ses fesses se soulèvent légèrement ; pris d’un spasme voluptueux, il écarte d’un coup les draps. Sa queue se dresse sous les caresses. Tandis que d’une main il s’active sur sa verge, l’autre caresse fermement ses couilles et l’entre-fesses. Il est maintenant totalement réveillé, il se lève, crache dans sa main afin de mieux accompagner le mouvement.
Alors heureux de son plaisir, fier de son corps, il tourne sa web cam vers lui et décide d'offrir au monde, l’image magnifique de sa jouissance.



08 mars 2015

Le Flamboyant


Peu à peu ma vie redevient parisienne. Enfin. Même si je reste un familier des hôtels, des trains et des avions, les déplacements commencent à s’espacer un peu, me permettant de reprendre un rythme de vie un peu plus normale et un peu plus saine.
J’ai repris de façon régulière, le sport en salle. Bien sûr, mes missions précédentes me permettaient de me défouler avec mon équipe dans les salles de sports des hôtels fréquentés. Mais outre que cela n’a rien à voir en matière d’équipement, les séances de sport de ces derniers mois étaient plus de l’ordre du défoulement et du « team building que de la séance d’entraînement efficace. Sans compter, les repas, les bières qui ont contre balancé ‘effet des efforts sur ma ceinture abdominale.
Maintenant, je fréquente tôt le matin la salle proche de mon boulot et à  vrai dire dès l’ouverture. Il y a moins de monde, moins de frimeurs et surtout, cela donne une atmosphère plus masculine, plus intimiste. Surtout dans les vestiaires où le fait d’être si peu à se dévêtir, d’être si proches les uns des autres dans l’exiguïté du lieu. Si proches que l’on peut voir les gouttes de sueur perler sur les dos nus, si proches enfin que nos vêtements se mêlent sur le banc de bois, que nos odeurs intimes se mêlent et m'enivrent,
Pourtant on s’ignore où l’on fait mine de s’ignorer. On s’affaire, l’air perdu dans ses pensées, l’air de rien, mais le geste est maîtrisé, calculé: le slip que l’on enlève, la serviette que l’on serre négligemment autour de la taille avant d’aller vers les douches, la serviette entre les fesses pour essuyer les dernières gouttes, le slip enfin que l’on enfile en prenant bien garde à mettre en valeur ses attributs d’un geste détaché en faisant claquer virilement l’élastique sur son ventre bien dur… Tous prennent garde à être vus sur "leur meilleur jour". Les coqs sont lâchés ! Est-ce ainsi dans les vestiaires des femmes ? J’en doute. En tous cas cela me fascine, m’emporte, m’émeut. Tout cela enfin, participe grandement à ma motivation pour me lever si tôt et suer sur ces machines barbares.
Hier, il y avait un grand machin tout roux comme je les aime, surtout depuis Augustin. Un grand gaillard, tout mince, tout blanc, tout tacheté.
J’étais subjugué. Il était trop loin de moi pour que je l’hume, mais ses cheveux rouges collés sur le front, ce tricot de peau trempé jeté sur le banc, ces aisselles profondes, foisonnantes  rougeoyantes et moites, ce boxer collant sur des fesses charnues, ce boxer enfin enlevé, et cette longue queue et ces toutes petites couilles presque invisibles : délicieuses petites pêches, couronnées d’une flamboyance de poils rouge feu. J’étais au spectacle, tous les sens en alerte. Avait-il perçu mon jeu, ma fascination ? Je ne sais. En tous cas, il se dirigeait maintenant vers les douches, la serviette sur les épaules, dandinant ses délicieuses petites fesses au bas d’un interminable dos couvert de tâches rousses.




Je le suivis sous la douche, je le regardai discrètement tandis que l’eau brûlante évacuait à jamais les exhalaisons de l’effort privant ma langue de tant de volupté. A aucun moment nos regards ne se croisèrent. Impassible, indifférent, il se relaxait sous le jet brûlant de la douche, passant ses mains sur son corps ; les yeux mi-clos. Puis, une demi-seconde d’un regard appuyé, brûlant. Dégoulinant d’eau, il se dirigea vers le sauna. Mon cœur battait la chamade, était-ce un signe ? Avais-je bien vu ? je le suivis. Le local était vide à cette heure là. Je m’assis en face. En face de ce long corps blême aux jambes écartées, le sexe en évidence ; comme offert et, bientôt majestueusement dressé. Il se caressait, tout en me fixant du regard, il se caressait et s’activait sur sa queue. J’étais tétanisé, terrassé par tant d’aplomb ; quelqu’un, même à cette heure matinale pouvait entrer à tout instant. Ce mec se déhanchait, se branlait violemment devant moi. Ce mec là me tendait sa verge, me tendait son cul mais je savais qu’il n’était pas question de toucher, pas question d’aller plus loin. Ma bite gorgée de sang était douloureusement tendue. Mais ce qu’il m’offrait c’était un peep show, rien d’autre. Mon corps, ma bite dressée ne l’intéressait pas, ses yeux ne quittaient pas les miens, c’est l’effet qu’il me faisait qui le branchait, rien d’autre. Soudain, son regard se voila, il se cambra et, en un instant, d’une longue giclée, il jouit. Il jouit, délicieusement, profondément, longuement. Je me branlais frénétiquement, je voulais venir vite, la partager quand même avec lui, venir en ayant encore la vision de sa jouissance inscrite dans mes yeux. Venir, avant qu’il ne s’en aille.
Je jouis brusquement tandis que déjà il revêtait sa serviette autour de la taille. Il quitta le sauna. Juste un dernier regard, juste un dernier clin d’œil. Quel couillon, je me retrouvais seul, presque ébouillanté par la chaleur du sauna, du sperme plein les mains. Tout cela n’avait finalement duré que quelques minutes mais quel spectacle !



02 février 2015

Un froid de canard


Brrrrrrrrr! ça caille vraiment! J'aime ce froid sec qui s'empare de nos ville. J'aime me balader sous ce froid soleil d'hiver, la buée s’échappant de m bouche à chaque pas. J'aime aussi cette saison car je peux enfin mettre ce "long johns" sous le jean. Je ne comprend d'ailleurs pas pourquoi les mecs m'utilisent pas ou si peu ce vêtement. Quand je vais à la salle de sport, je ne vois jamais personne, hormis un motard de temps à autre, qui en porte. Alors évidemment quand je me déshabille dans le vestiaire, je sens quelques fois des regards discrètement se poser sur moi; sans doute étonnés, sans doute amusés. Peu importe, j'ai chaud et en plus cela m'excite un peu! that's it!

03 janvier 2015

quel métier!!!




quel métier! habilleur pour défilés de sous-vêtements masculins. Vous pensez! passer sa journée à aider des créatures toutes aussi superbes les unes que es autres à enfiler des maillots de bains, des boxers, des slips, des thongs, des jock-strap, bref tout ce qui se porte au plus près des charmes masculins. Le modèle maquillé, poudré, crémé ne doit surtout pas y toucher. c'est à moi qu'il revient de mettre "popaul en place" pour le confort de monsieur, pour sa mise en valeur et celle du vêtement. Toute la journée à bien positionner des engins de toutes tailles, à quelques centimètres de mes yeux, de ma bouche... quel calvaire!



02 janvier 2015

bonne année 2015



que souhaiter de mieux:  
  jouir de chaque moment que la vie nous offre (je sais facile à dire,....)












 Ne laisser jamais passer les opportunités

















pour pouvoir dire et ressentir cela, après, longtemps après...
























et surtout, le seul message qui vaille la peine  'aimons nous les uns les autres"



et profitons jusqu'à la dernière goutte!