21 juillet 2016

Un ciel d'un bleu étonnamment ciel


Un ciel d'un bleu étonnamment ciel, le soleil qui tape avec son poids de volupté. Splashhh! Eau fraîche, ballon, rires, jeux. Tu es nu. Tu aimes à te baigner nu. Moi, au contraire, j'aime à garder un maillot ou un slip de bain. J'aime les marques de bronzages. Dernières traces, quand l'automne arrive, du bonheur passé.
Vert d'eau, rouge parasol, jaune serviette, un silence à peine rompu par le chant des oiseaux et le clapotis de la piscine. Blanc translucide d'un boxer trempé et dégoulinant.
Quelques gouttes s'écoulent le long de mon dos, de mes jambes brunis par le soleil. Bruissement des mouches, bruissement du temps qui passe. Un nuage, un minuscule nuage blanc, là-bas.
Tes doigts jouent à poursuivre les fines gouttelettes d'eau qui filent prestement le long de mes cuisses. Tes lèvres effleurent et parcourent mon dos. Volupté de cet instant. Presque immobile, presque éternel.

Tes mains enlèvent le short blanc mouillé, caressent mes fesses, viennent chercher la fraîcheur humide de mon entrejambe. Est-ce cela le bonheur?

J'écarte doucement les cuisses et me cambre. Chair de poule, poils qui se dressent, je facilite le passage de tes mains qui cherchent, fouillent et agrippent enfin mes couilles. Je me cambre. Un peu plus encore. Laisser mon sexe s'épanouir contre la serviette, te permettre de me les gober, te permettre de t'en saisir.
Lèvres, langue qui sillonnent , explorent mon périnée, mon secret sillon, léchant, avides, l'intime humidité, la tendre amertume de mon trou du cul. Je me cambre encore. Tu tires sur ma queue bien raide maintenant, tu tires dessus tandis que ta langue s'active sur ma rondelle et mon anus déjà bien offert.
Alors je me retourne, je veux voir dans les yeux celui qui me promet tant de bonheur. Celui qui me donne tant de bonheur.

Nos corps s'enlacent maintenant sur cette plage de piscine offerte au soleil.
C'est comme un corps à corps au ralenti, c'est comme un hymne au temps retenu. Des mains agrippent, malaxent, triturent tandis que des bouches s'entrechoquent, tandis que des langues s'affrontent. Je me noie dans ton regard amoureux, plein de désir, je me perds dans le bleu intense de tes yeux d'été.
Maintenant, cet homme que je connais si bien, qui partage mes jours et mes nuits, je le veux en moi, je veux voir dans ces yeux bleuis par le soleil, la montée progressive du plaisir

Arrêt sur image: tu es sur moi, ma longue queue bien raide frotte le long de tes fesses, je te baiserai bien et je sais qu'en ce moment même, c'est bien ce que tu souhaites; mais, là, maintenant, je ne veux rien d'autre qu'être empalé par toi.. Te voir jouir en moi.
Ton sexe lourd bat contre mon ventre. Gonflé de sang, les veines saillantes à éclater
Les jambes écartées en l'air, je sais maintenant comment tu veux me baiser. La position qui t'excite le plus...
Voilà on y est, une giclée de crème solaire, sur ta queue que tu astiques avant de me glisser fermement deux doigts dans l'anus, préparant ainsi à ta venue.

Je vois ton sexe qui doucement entre en moi; je vois ton pubis tout contre moi et enfin nous ne faisons qu'un. Et puis tes coups de reins qui m'empalent, le bruit de tes couilles en collision avec mes fesses, ta queue surtout que tu maintiens quelques fois entièrement dehors, à quelques centimètres seulement de mon anus bien ouvert. Car c'est bien cela qui t'excite par dessus tout, voir les chairs dilatées par le plaisir, apercevoir les entrailles que tu déchires.
Ma queue bien dure, mes couilles, battent la chamade sur mon ventre au rythme de ton sexe qui me lime, de ton gland au fond de moi, qui me malaxe énergiquement les organes. Je suis au bord de la jouissance, de l'orgasme, de l'implosion.
Dans la chaleur de l'après-midi, dans le secret de notre jardin. Nos halètements se mêlent aux chants des oiseaux, au murmure du vent dans les arbres au clapotis de l'eau.



La sueur de ton front coule sur mon torse. Épuisé, tu trouves encore les forces pour me dire des mots épars. Des mots d'amour, des mots de passion, des insultes aussi, celles que l'on peut dire dans l'excitation des joutes amoureuses. Et puis cette sorte de souffrance ultime, cette petite mort comme on le dit. Où le corps trouve ses ultimes forces pour gonfler encore le sexe turgescent, pour intensifier encore les coups de reins. Jusqu'à ce que la respiration s'arrête, jusqu'à ce que le corps prenne le relais et, dans un ultime réflexe, alors que le cerveau n'est plus, tout ce concentre sur ces quelques muscles dans une puissante, intense pulsion. N'y tenant plus, avec quelques secondes de retard sur lui, ma queue décharge une immense giclée sur mon torse et mon visage tandis que je sens couler en moi sa semence. Nous nous écroulons l'un sur l'autre. Dans un ultime geste de tendresse, d'un coup de langue. Il me lave tendrement le visage maculé.

Nous le partageons enfin dans un ultime baiser.
Juste le clapotis de l'eau dans les skimmers








petits bonheurs de l'été (5)



Tous pareils; il fait chaud, le temps est propice au farniente et aux plaisirs déjantés de tous genres.
Une bande de potes, un peu d'alcool et voilà que les paris les plus fous s'engagent; celui-là n'est pas banal, de mon point de vue!

petits bonheurs de l'été (4)


juste être nu sur l'herbe fraichement coupée. 
La fraicheur du gazon, 
cette odeur d'herbe coupée, c'est simple mais tellement cool.

Attention aux tiques!....

16 juillet 2016

rêverie estivale **


Dans la relative fraîcheur de ma chambre, des draps froissés. Derrière les volets clos, j'essaie de trouver un peu de sommeil. Rien d'autre à faire par cette chaleur que d'attendre la fin de l'après midi pour retrouver la bande, la piscine.
Je tourne et me retourne dans ce grand lit. Ma peau est moite, c'est comme quand on a de la fièvre; on gigote sans cesse, l'esprit divaguant. Je ressens ces vagues sensuelles qui vous envahissent juste avant de faire l'amour avec un inconnu.
Je crois savoir que j'ai rêvé.  Alors dans les vagues du lit je me laisse aller en rêvant. Ma main dans le caleçon caresse mon sexe  qui se durcit. Je sens les vibrations d'un corps qui m'attend à côté, je sens ces frémissements, cette chair de poule, ces frissons d'avant, ce froid qui vous gagne. 
Et puis, l'approche, le contact, le premier avec une peau inconnue, des muscles nouveaux. Et aussi ce regard que l'on découvre, qui déjà  m'emporte. Et enfin ces mains qui m'explorent, cette bouche qui englobe mon sexe. Je me laisse aller, les cuisses écartées imaginant, ressentant presque cette superbe et magnificente queue qui maintenant me transperce, ces couilles qui frappent à chaque coup de reins mes fesses. Et soudain, tandis que cette ombre me donne du plaisir, dans un long et copieux jet, ma semence, soudain, gicle à profusion sur mon torse.



13 juillet 2016

petits bonheurs de l'été (2)






Humm!!!, après une bonne salade et un rosé bien frais à l'ombre du catalpa, avec tous les potes autour. après quoi de mieux qu'une bonne sieste à l'ombre ....oui, je sais, vous allez me dire une sieste à deux avec calin(s); bon , ok, mais tout seul c'est pas mal non plus.. des fois.


12 juillet 2016

petits bonheurs de l'été (1)

  

Un grand classique pour moi qui fantasme pas mal sur les couilles et particulièrement les couilles bien pendantes!  L'hiver je désespère de voir mes petits abricots tout rentrés bien au chaud... Souvent je mets des "balls strechers" afin de les allonger un peu; il m'est également arrivé d'en mettre un voire deux en acier pour peser le plus possible (400g chacun, quand même..) Mais l'été! ah! l'été! elles pendent bien, sans effort, sans artifice aucun. Faut dire que  j'évite le plus possible de mettre un slip ou un caleçon; freeballing comme disent les anglo-saxons!